Bouygues Telecom déroule le tapis rouge pour le BlackBerry Bold

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La division Entreprises de l’opérateur mobile proposera mi-septembre le modèle le plus sophistiqué de la gamme des smartphones de RIM.

Outre les netbooks, les smartphones font leur rentrée. Ainsi, la division Entreprises de Bouygues Telecom va introduire le smartphone BlackBerry Bold de Research in Motion (RIM) auprès de sa clientèle professionnelle à la mi-septembre.

Le fabricant canadien a présenté ce nouveau modèle au printemps dernier. Signes particuliers ? Il supporte les réseaux haut débit HSDPA tri bandes et inclut le GPS et le Wi-Fi (802.11 a/b/g).

Rappelons quelques caractéristiques du terminal : écran ultra-lumineux avec une forte résolution (480 x 320 pixels à 217 ppi), accès au trackball « qui fonctionne comme une souris » (en attendant une évolution vers un écran tactile), appareil photo 2 mégapixels, BlackBerry Media Sync (qui permet la synchronisation des bibliothèques iTunes avec le smartphone).

Le Blackberry Bold est disponible chez Bouygues Telecom à partir de 199 euros hors taxes, associé à une offre entreprises. Les clients souscrivant à l’offre illimitée bénéficieront d’une licence Webraska Navigation incluse pour une durée de 12 mois. Ce qui donne accès à la navigation GPS et à l’info trafic en temps réel pour la France métropolitaine.

Investissements réseaux en hausse

Pour la filiale mobile du groupe Bouygues, ce démarrage des ventes va correspondre à la montée en puissance de son réseau 3G+ (qualifié de deuxième génération de l’UMTS) dans les grandes villes de France.

Dans une communication destinée à ses clients grand public, Bouygues Telecom indiquait en juin que son réseau 3G+ couvrait désormais 13 grandes villes de France : Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux, Grenoble, Lille, Nantes, Nice, Rouen, Strasbourg, Toulouse, Montpellier et Toulon. Quant à son réseau Edge (2,5G), il couvrirait 93% de la population française.

Récemment, Bouygues Telecom a indiqué qu’il compte investir 850 millions d’euros dans ses infrastructures fixes et mobiles (contre 600 millions l’an passé).


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