Le cloud public d’IBM passe par la France

Régulations
cloud-public-IBM-france-serveurs-IaaS-nuage

En partant de son offre SmartCloud Enterprise+, IBM ouvre son premier centre de cloud public en France. C’est le septième relais similaire dans le monde.

IBM inaugure son premier centre de cloud public en France.

C’est la septième initiative dans ce sens recensée dans le monde, après les États-Unis (deux data centers), l’Allemagne, le Japon, Singapour et le Canada.

IBM multiplie les initiatives pour toucher tous les segments d’entreprises, comme le prouve l’accord signé avec AT&T pour proposer aux grandes organisations des « réseaux privés sécurisés dans le cloud ».

Big Blue est conscient que la géolocalisation des données est un enjeu important pour remporter des marchés face aux services émergents de cloud souverain (Numergy, Cloudwatt).

Ainsi, le centre de cloud public d’IBM est hébergé près de Montpellier (Hérault).

Il propose dans son catalogue un bouquet de prestations et de plateformes de services pour opérer des projets d’hébergement et d’externalisation d’applications en mode SaaS (Software-as-a Service).

Par exemple la solution IBM SmartCloud for SAP, qui apporte la flexibilité du cloud aux environnements SAP.

« Avec l’ouverture de ce centre cloud en France, IBM va accompagner les entreprises publiques ou privées françaises dans leur développement national », a déclaré Alain Bénichou, Président d’IBM France.

« Mais notre force est aussi de pouvoir les aider dans leur croissance internationale avec notre réseau mondial de centres cloud. »

Résilience, sécurité, conformité aux contraintes réglementaires…IBM sait adpater son offre à la mondialisation, tout en répondant aux exigences locales des offres cloud public.

Au-delà de l’infrastructure, IBM s’appuie sur son offre SmartCloud Enterprise+, fournissant un environnement de gouvernance, d’administration et de gestion.

Ce qui permet ensuite de proposer ensuite des offres de « provisioning » (ressources dynamiquement allouées) de machines virtuelles (VM).

« De quoi fournir des niveaux d’engagements de services (SLA ou Service Level Agreement en anglais) élevés pour satisfaire les organisations qui souhaitent déployer des services multi-tenants [ une seule instance utilisée par plusieurs clients et adaptée aux besoins de chacun] de cloud public », considère Silicon.fr.

 Crédit photo : Shutterstock – Copyright : dny3d

Lire aussi :