Des transistors en plastique pour des PC portables flexibles

Mobilité

Les transistors en plastique pourraient remplacer les modèles en silicium et rendre possibles des applications totalement nouvelles.

De nouveaux travaux de recherche autour du développement de plastiques de nouvelle génération pourraient voir apparaître des panneaux électroniques, des ordinateurs portables flexibles et des écrans de télévision haute définition de seulement 1 cm d’épaisseur.

Ces travaux de recherche ont été entrepris par les chercheurs israéliens Marianna Khorzov et David Andelman de la School of Physics and Astronomy de l’université de Tel Aviv, et par Rafi Shikler, de l’Electrical and Computer Engineering Department de l’université de Ben Gurion.

Selon les scientifiques, les transistors en plastique et les écrans à diodes électroluminescentes organiques (LED) devraient « secouer le marché de l’électronique« . Bien que les transistors, ces composants au coeur des appareils électroniques modernes, soient traditionnellement en silicium, les versions plastique seraient plus faciles à fabriquer et moins coûteuses.

Et puisque le plastique est flexible, nous pourrions assister prochainement au développement d’ordinateurs portables flexibles ultra-minces qu’il serait impossible de produire avec des transistors en silicium.

Le rapport, publié dans Physics World, rappelle que les écrans LED traditionnels utilisés dans les télévisions, ordinateurs portables et iPods, par exemple, sont rigides, coûteux et difficiles à fabriquer. Les écrans LED basés sur les composants électroniques plastiques sont en revanches plus faciles à fabriquer et plus flexibles et, en prime, consomment moins d’énergie.

Cette technologie pourrait également trouver des applications dans le domaine de la bionique, avec des matériaux sensibles mais suffisamment souples pour reproduire la texture de la peau, qui pourrait être utilisée chez les robots lorsque le sens du toucher est primordial.

« Pour de nombreuses applications, nous pensons que ces matériaux remplaceront progressivement le silicium et le métal et qu’ils pourraient même rendre possibles des technologies totalement nouvelles dans le domaine de la bionique », affirment les chercheurs.

De nouveaux travaux de recherche autour du développement de plastiques de nouvelle génération pourraient voir apparaître des panneaux électroniques, des ordinateurs portables flexibles et des écrans de télévision haute définition de seulement 1 cm d’épaisseur.

Ces travaux de recherche ont été entrepris par les chercheurs israéliens Marianna Khorzov et David Andelman de la School of Physics and Astronomy de l’université de Tel Aviv, et par Rafi Shikler, de l’Electrical and Computer Engineering Department de l’université de Ben Gurion.

Selon les scientifiques, les transistors en plastique et les écrans à diodes électroluminescentes organiques (LED) devraient « secouer le marché de l’électronique« . Bien que les transistors, ces composants au coeur des appareils électroniques modernes, soient traditionnellement en silicium, les versions plastique seraient plus faciles à fabriquer et moins coûteuses.

Et puisque le plastique est flexible, nous pourrions assister prochainement au développement d’ordinateurs portables flexibles ultra-minces qu’il serait impossible de produire avec des transistors en silicium.

Le rapport, publié dans Physics World, rappelle que les écrans LED traditionnels utilisés dans les télévisions, ordinateurs portables et iPods, par exemple, sont rigides, coûteux et difficiles à fabriquer. Les écrans LED basés sur les composants électroniques plastiques sont en revanches plus faciles à fabriquer et plus flexibles et, en prime, consomment moins d’énergie.

Cette technologie pourrait également trouver des applications dans le domaine de la bionique, avec des matériaux sensibles mais suffisamment souples pour reproduire la texture de la peau, qui pourrait être utilisée chez les robots lorsque le sens du toucher est primordial.

« Pour de nombreuses applications, nous pensons que ces matériaux remplaceront progressivement le silicium et le métal et qu’ils pourraient même rendre possibles des technologies totalement nouvelles dans le domaine de la bionique », affirment les chercheurs.