Huis clos sur le Net : « grandeurs et misères « de Twitter et Facebook

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Cinq journalistes de radios publiques francophones s’étaient coupés du monde avec Twitter et Facebook comme uniques canaux d’information. Leur témoignage sur France Info.

Condensé intéressant ce matin sur France Info de l’expérimentation Huis clos sur le Net qui vient de s’achever.

Rappelons-en le principe : cinq journalistes issus de radios publiques francophones équipés de cinq ordinateurs connectés à Internet s’enferment pendant cinq jours dans un gîte rural dans le Périgord.

Privés des médias traditionnels (télé, radio, presse, et même de l’accès aux médias en ligne), ils doivent s’informer qu’à partir des réseaux sociaux (Facebook et Twitter).

Un test qui n’a aucune valeur scientifique mais les retombées en termes de buzz ont été importantes.

Ainsi, la file « d’amis »de Benjamin Muller (France Info) a gonflé à vitesse grand V sur Facebook : de 50 « friends », le journaliste est arrivé à 1500 – 2000 abonnés suivant son activité sur le réseau social.

Réunis à l’antenne de France Info autour du chroniqueur David Abiker, trois journalistes sur les cinq ayant participé à ce Huis clos sur le Net apportent leur témoignage : Benjamin Muller (France Info), Janic Tremblay (Radio, Premiere Chaîne) et Anne-Paule Martin (RSR). Absents au micro : Nour-Eddine Zidane (France Inter) et Nicolas Willems (RTBF).

« On a pris conscience des grandeurs et des misères de Twitter », considère d’emblée Janic Tremblay (Radio, Premiere Chaîne, Canada).

(lire la suite page 2) : Twitter : (fausse) panique à Lille

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