La Chine et l’Iran s’avouent menacés par le bogue

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Les responsables des deux pays ont expliqué qu’il fallait s’attendre à des problèmes engendrés par le passage à l’an 2000

Si les communiqués optimistes fleurissent dans les pays occidentaux, les responsables iraniens et chinois affichent publiquement leur inquiétude. A Téhéran, le responsable du Conseil suprême des technologies de l’information a déclaré qu’il fallait s’attendre à des incidents et que certains services publics pourraient être perturbés. Il a mentionné les secteurs de la santé, des télécommunications, des transports, de l’électricité et du pétrole.

A Pékin, la responsable des préparatifs de passage à l’an 2000 a souligné que si des efforts considérables de préparation ont été engagés, on ne pouvait exclure des problèmes, étant donné la taille du pays et de sa population. Elle a notamment expliqué que les services publics, la santé et le commerce n’avaient pas atteint le niveau de préparation des secteurs du transport, de la production d’énergie et de la défense.