Myst III Exile : la suite de la saga culte

Mobilité

C’est l’un des plus grands succès du jeu, toutes catégories confondues. Myst revient, et le troisième épisode de la série, qui vient tout juste d’être présenté, promet d’être aussi réussi que ses prédécesseurs. Petit tour de ce monde imaginaire…

La saga d’aventure des frères Miller, Myst et sa suite Riven, constitue un cas à part dans l’univers des jeux vidéo. Non violente et très ardue dans ses énigmes, elle n’en est pas moins la série la plus vendue dans le monde des jeux sur micro. Ce sont ainsi plus de dix millions d’exemplaires qui ont été acquis par les joueurs du monde entier (200 000 en France pour le seul Riven), avec un pool de 25 millions de joueurs. Et les deux titres continuent encore à se vendre, des années après leur sortie (1993 pour Myst et 1997 pour Riven). A noter que cette saga a su aussi remporter une forte adhésion féminine, avec un quota de 40 à 50 % de femmes.

La saga d’aventure des frères Miller, Myst et sa suite Riven, constitue un cas à part dans l’univers des jeux vidéo. Non violente et très ardue dans ses énigmes, elle n’en est pas moins la série la plus vendue dans le monde des jeux sur micro. Ce sont ainsi plus de dix millions d’exemplaires qui ont été acquis par les joueurs du monde entier (200 000 en France pour le seul Riven), avec un pool de 25 millions de joueurs. Et les deux titres continuent encore à se vendre, des années après leur sortie (1993 pour Myst et 1997 pour Riven). A noter que cette saga a su aussi remporter une forte adhésion féminine, avec un quota de 40 à 50 % de femmes.

Ce succès tient à trois éléments prépondérants : des univers oniriques étranges et inhabités, différents les uns des autres et pourtant réunis par une même ambiance insolite, des énigmes qui réclament toute la sagacité du joueur et amènent souvent à jouer en famille et une grande beauté graphique qui ne se dément pas en dépit de l’âge. Pour ce troisième volet, Cyan (le studio de développement des frères Miller) a cédé la main à Presto. Que les amoureux de la série se rassurent : l’esprit et la lettre de Myst ont été conservés, les concepteurs apportant toutefois leur lot d’améliorations.

Graphismes superbes et énigmes complexes

Le jeu consiste toujours à explorer cinq mondes oniriques, afin de retrouver le livre originel, volé au début de l’aventure. Ces mondes ont chacun leur propre identité, dans les graphismes, l’ambiance ou le type d’énigmes. Ces graphismes, superbes (il a fallu 4 CD pour les loger), ont été réalisés par cinq équipes différentes de graphistes, afin d’accentuer encore la spécificité de chaque monde. Les énigmes, toujours aussi complexes, seraient toutefois plus logiques que certains puzzles de Riven, qui ne s’expliquaient souvent qu’après coup.

La saga d’aventure des frères Miller, Myst et sa suite Riven, constitue un cas à part dans l’univers des jeux vidéo. Non violente et très ardue dans ses énigmes, elle n’en est pas moins la série la plus vendue dans le monde des jeux sur micro. Ce sont ainsi plus de dix millions d’exemplaires qui ont été acquis par les joueurs du monde entier (200 000 en France pour le seul Riven), avec un pool de 25 millions de joueurs. Et les deux titres continuent encore à se vendre, des années après leur sortie (1993 pour Myst et 1997 pour Riven). A noter que cette saga a su aussi remporter une forte adhésion féminine, avec un quota de 40 à 50 % de femmes.

La saga d’aventure des frères Miller, Myst et sa suite Riven, constitue un cas à part dans l’univers des jeux vidéo. Non violente et très ardue dans ses énigmes, elle n’en est pas moins la série la plus vendue dans le monde des jeux sur micro. Ce sont ainsi plus de dix millions d’exemplaires qui ont été acquis par les joueurs du monde entier (200 000 en France pour le seul Riven), avec un pool de 25 millions de joueurs. Et les deux titres continuent encore à se vendre, des années après leur sortie (1993 pour Myst et 1997 pour Riven). A noter que cette saga a su aussi remporter une forte adhésion féminine, avec un quota de 40 à 50 % de femmes.

Ce succès tient à trois éléments prépondérants : des univers oniriques étranges et inhabités, différents les uns des autres et pourtant réunis par une même ambiance insolite, des énigmes qui réclament toute la sagacité du joueur et amènent souvent à jouer en famille et une grande beauté graphique qui ne se dément pas en dépit de l’âge. Pour ce troisième volet, Cyan (le studio de développement des frères Miller) a cédé la main à Presto. Que les amoureux de la série se rassurent : l’esprit et la lettre de Myst ont été conservés, les concepteurs apportant toutefois leur lot d’améliorations.

Graphismes superbes et énigmes complexes

Le jeu consiste toujours à explorer cinq mondes oniriques, afin de retrouver le livre originel, volé au début de l’aventure. Ces mondes ont chacun leur propre identité, dans les graphismes, l’ambiance ou le type d’énigmes. Ces graphismes, superbes (il a fallu 4 CD pour les loger), ont été réalisés par cinq équipes différentes de graphistes, afin d’accentuer encore la spécificité de chaque monde. Les énigmes, toujours aussi complexes, seraient toutefois plus logiques que certains puzzles de Riven, qui ne s’expliquaient souvent qu’après coup.

Les innovations tiennent à deux éléments principaux. Désormais, l’univers n’est plus représenté en images fixes mais en images « animées », le joueur pouvant visionner l’ensemble des décors d’un point donné en tournant sur lui-même et en levant/baissant le regard. Cette animation se retrouve aussi dans les décors eux-mêmes (mer agitée de vagues, miroitement des lacs, défilement des nuages, présence de quelques animaux), le tout étant renforcé par les scènes cinématiques soulignant les étapes importantes de l’aventure. Si les rencontres restent toujours occasionnelles, Myst III est toutefois moins inhabité que ses prédécesseurs. Les personnages apparaissent dans des incrustations parfaites, s’intégrant ainsi sans faille dans les décors précalculés. Cette persistance d’une 3D précalculée, qui va à l’encontre de la tendance 3D temps réel actuelle, se justifie tout de même puisqu’elle permet d’offrir des décors très travaillés sur des configurations modestes (Pentium II 300 sans la moindre carte 3D accélératrice). Un grand jeu en perspective, dont la sortie mondiale est attendue pour avril.