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C’est l’une des menaces grandissantes du Net : le phishing (ou hameçonnage). Cette technique d’usurpation d’identité consiste à créer des sites miroirs de portails ou de services transactionnels, qui servent d’interfaces pour récupérer des données confidentielles de l’internaute (coordonnées bancaires, codes d’accès, etc.). Le schéma est devenu un classique : un pseudo-mail commercial reçu dans une boîte mail sert d’hameçon pour attirer l’internaute vers le faux site. Le visiteur, convaincu de l’authenticité de la procédure, est invité à remplir un formulaire en ligne. Ce qui permet au pirate de recueillir les données pour les exploiter ensuite à son profit. Selon le groupement Antiphishing Working Group alliant des prestataires technologiques et des acteurs industriels qui servent de cibles potentielles (comme les banques ou les fournisseurs d’accès Internet), 1707 sites de phishing étaient actifs en décembre dernier (soit une croissance mensuelle de 24% sur les six derniers mois de 2004). Le nombre de marques ou d’enseignes atteintes par le phishing s’élevait à 55 au dernier pointage.