Press release

Bioiberica va réaliser sur des sujets humains des essais d’un nouveau composé qui prévient les pertes de mémoire chez les patients atteints d’une forme légère de la maladie d’Alzheimer

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BARCELONE, Espagne–(BUSINESS WIRE)–Un nouveau composé d’origine animale, isolé de la cervelle porcine et
intégralement développé par des chercheurs de Bioiberica,
a fourni des résultats positifs en termes de ralentissement de la
progression de la maladie d’Alzheimer, lors de sept études menées sur
des animaux. Ce composé, le PRJ212, possède un nouveau mécanisme
d’action basé sur la neuroprotection qui pourrait prévenir les pertes de
mémoire chez les patients atteints de la forme légère de la maladie.

« Nous venons d’enregistrer le brevet, et la prochaine étape consiste
maintenant à réaliser des essais avec ce composé prometteur sur des
sujets humains. Nous prévoyons de débuter les essais cliniques sur des
patients atteints de la maladie d’Alzheimer au dernier trimestre de
cette année »
, explique Daniel Martínez, Directeur de la R&D
à la Division Santé humaine de Bioiberica et responsable du projet.

Bioiberica
est une société de biotechnologie spécialisée dans l’extraction de
biomolécules à haut potentiel thérapeutique à partir de tissus d’origine
animale. La société est une référence mondiale pour la production
d’héparine (l’anticoagulant le plus utilisé) et de sulfate de
chondroïtine (un médicament traitant l’arthrose). « Ce projet
s’inscrit dans notre stratégie d’innovation, qui vise à développer sans
cesse de nouveaux composés susceptibles de trouver une application
scientifique. Dans le cas présent, nous sommes aussi particulièrement
fiers car les travaux de recherche ont été menés à 100% par notre
société, et qu’ils sont le résultat du travail remarquable effectué par
notre solide équipe »,
déclare José Escaich, PDG de
Bioiberica.

L’objectif de Bioiberica est de mettre sur le marché un aliment
fonctionnel, c’est-à-dire un aliment utilisé à des fins médicales
spécifiques qui, consommé régulièrement, contribue à prévenir les pertes
de mémoire chez les patients souffrant d’une forme légère de la maladie
d’Alzheimer. « Nous pensons qu’envisager la maladie sous l’angle de
la nutrition est une stratégie prometteuse car de nombreuses études
épidémiologiques montrent que les patients Alzheimer possèdent des
besoins nutritionnels spécifiques »
, ajoute M. Martínez.

On estime que plus de 15 millions de personnes dans le monde souffrent
de la maladie d’Alzheimer. La prévalence de cette maladie pourrait
doubler d’ici 2030.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Alba Soler i Conangla
Directeur des Communications Bioiberica
asoler@bioiberica.com
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