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Le rapport publié aujourd’hui, Journée européenne de sensibilisation
au cancer de la prostate, invite à mettre davantage l’accent sur les
besoins de qualité de vie dans le cancer de la prostate

BRUXELLES, Belgique–(BUSINESS WIRE)–Publié aujourd’hui, le nouveau rapport intitulé « Prostate Cancer:
Living, not Just Surviving
» (Le cancer de la prostate : vivre,
pas seulement survivre), qui décrit en détail les résultats d’une vaste
enquête paneuropéenne auprès de 765 patients atteints du cancer de la
prostate, 335 soignants et 400 professionnels de la santé, révèle que
seulement 14 % des professionnels de la santé estiment qu’ils ont
suffisamment de ressources pour résoudre les problèmes de qualité de
vie, tels la fatigue, la douleur et les problèmes d’intimité.1


Développée par Janssen en collaboration avec des associations de
patients paneuropéennes et nationales, l’enquête révèle que pour les
patients qui ressentent les effets physiques chroniques de la maladie,
la fatigue (66 %) a le plus grand impact négatif par rapport à
l’invalidité et la douleur (41 % et 22 % respectivement), en particulier
chez les patients métastatiques (93 %) et les patients sous traitement
(83 %). Près de la moitié de tous les hommes atteints du cancer de la
prostate interrogés (n=765) déclarent qu’ils sont fatigués, ne
ressentent plus la capacité à l’effort et 74 % de ce groupe disent que
cela a eu un effet négatif sur eux sur le plan émotionnel.

Il suggère également que les hommes atteints du cancer de la prostate se
soucient davantage des questions de qualité de vie associées à leur
maladie, tels que les problèmes d’intimité (54 %) et la sensation d’être
malade (41 %), que de mourir (36 %).

Le professeur Louis Denis, onco-urologue et Consultant stratégique à
Europa Uomo, a déclaré : « Le cancer de la prostate est de plus en
plus considéré comme une maladie chronique, car de nombreux hommes avec
la maladie vivent désormais plus longtemps. Cela engendre un nouveau
défi pour les professionnels de la santé et les patients eux-mêmes, qui
doivent tout autant se concentrer sur la gestion des questions de
qualité de vie comme qu’ils le font pour la survie. »

« Les groupes de défense des intérêts des patients, tel qu’Europa
Uomo, peuvent jouer un rôle important en soutenant les patients atteints
du cancer de la prostate qui se battent sur le plan émotionnel et
physique avec leur maladie en donnant la bonne information à jour sur la
gestion des questions de qualité de vie. Ils peuvent également servir de
plateforme où les patients et les soignants se rencontrent et partagent
leurs expériences avec d’autres personnes qui vivent avec la maladie. »

Le rapport révèle que presque tous les professionnels des soins de santé
(92 %) interrogés croient fournir de manière proactive des conseils aux
patients sur les moyens d’améliorer leur bien-être émotionnel et
physique. À l’inverse, seulement 14 % des patients peuvent se souvenir
de leur médecin les conseillant sur les moyens d’améliorer leur
bien-être physique et émotionnel, à part l’utilisation de médicaments.1

Le Dr Maria De Santis, de l’Unité de recherche sur le cancer de
l’université de Warwick au Royaume-Uni, a commenté : « La
communication est essentielle. Nous espérons qu’en ayant une meilleure
compréhension des expériences individuelles des patients et de leurs
soignants au quotidien, nous, en tant que professionnels de la santé,
pourrons être en mesure d’adapter la façon dont nous gérons la maladie
pour fournir un service plus personnalisé et une approche plus
holistique aux soins ».

Et de continuer : « La gestion de la qualité de vie est extrêmement
importante dans le processus général de traitement d’un patient atteint
du cancer de la prostate. Toutefois, il existe de nombreuses méthodes
différentes de mesure de la qualité de vie et les professionnels de la
santé peuvent ne pas toujours y être formés ou même être au courant de
ces méthodes. Les professionnels de la santé peuvent donc bénéficier
d’une méthode de mesure de la qualité de vie unique, simple et reconnue
à l’échelle internationale qui fournisse une manière cohérente
d’identifier les besoins spécifiques des patients ».

Jane Griffiths, présidente du groupe, Janssen Europe, Moyen-Orient et
Afrique (EMEA), a déclaré : « À Janssen, nous savons que la gestion
efficace du cancer de la prostate va au-delà de la simple fourniture de
médicaments qui prolongent la vie. Alors que le cancer de la prostate
devient de plus en plus une longue maladie chronique, il est important
que nous travaillions ensemble pour aider les hommes qui en souffrent et
leurs familles à gérer les problèmes de qualité de vie liés à la maladie
».

« Nous espérons qu’en faisant la lumière sur les expériences de
patients, des soignants et des professionnels de la santé en Europe, ce
rapport permettra d’améliorer notre compréhension de la façon dont les
questions émotionnelles, sociales et les problèmes physiques liés au
cancer de la prostate peuvent être traités plus efficacement par le
biais de soins personnalisés adaptés. »

Les derniers chiffres relatifs au cancer de la prostate indiquent qu’à
ce jour trois millions d’hommes vivent avec la maladie en Europe2
et que ce nombre continue d’augmenter, avec une croissance de plus de
150 % sur plus d’une décennie (1999 – 2012).3,4 Le cancer de
la prostate est le cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez les
hommes, avec plus de 400 000 nouveaux cas diagnostiqués en Europe chaque
année.3

L’enquête paneuropéenne a été menée dans dix pays d’Europe par la
société de recherche indépendante, InSites Consulting. Le
rapport « Prostate Cancer: Living, not Just Surviving »
peut
être consulté en ligne à l’adresse : http://www.janssen-emea.com/hpc/reports/Living-prostate-cancer

-FIN-

NOTE AUX RÉDACTEURS

À propos de l’enquête « Prostate Cancer: Living
not Surviving »

L’enquête « Prostate Cancer: Living, not Just
Surviving
» a été initiée sur la recommandation d’un groupe
européen indépendant de défense des droits des patients, qui a identifié
un besoin d’améliorer le soutien aux hommes atteints du cancer de la
prostate en se concentrant sur leurs besoins holistiques (qualité de
vie) à long terme et ceux de leurs soignants.

Une enquête paneuropéenne a ensuite été menée auprès de 765 patients,
335 soignants et 400 professionnels de la santé afin de déterminer leur
point de vue sur les conséquences physiques et émotionnelles du cancer
de la prostate. L’enquête a été effectuée par la société de recherche
indépendante InSites Consulting.

Les participants ont été recrutés à partir de panneaux de recherche en
ligne et par le biais de partenaires de groupes d’association de
patients. Les patients et les soignants provenaient de dix pays à
travers l’Europe : le Royaume-Uni, la Finlande, la France, l’Allemagne,
l’Italie, la Norvège, l’Espagne, la Suède, les Pays-Bas et la Belgique.
Les professionnels de la santé ont été interrogés au Royaume-Uni, en
France, en Allemagne, en Espagne et en Italie.

L’étude a été élaboré et mise en œuvre en partenariat avec les
membres du groupe d’experts de défense des droits des patients suivants
:

  • Professeur Louis Denis – Europa Uomo (UE)
  • Christian Arnold – Association Nationale des Malades du Cancer de la
    Prostate (ANAMACAP) (FR)
  • David Smith et Hugh Gunn – Prostate Cancer Support Federation (Tackle
    Prostate Cancer) (R.-U.)
  • Ian Banks – European Men’s Health Forum (EMHF) (UE)
  • Calle Waller – Prostatacancerförbundet (SWE)

À propos de la Journée européenne de
sensibilisation au cancer de la prostate (EPAD)

L’EPAD 2015 se tient au Parlement européen à Bruxelles le 16 septembre
2015, organisée et présidée par M. P. De Backer, député au Parlement
européen, et co-présidée par le professeur C. Chapple, Secrétaire
général de l’Association européenne d’urologie et M. K. Mastris,
Président d’Europa Uomo.

L’EPAD 2015 vise à accroître la sensibilisation, la compréhension et la
connaissance de la gestion des maladies de la prostate en général et du
cancer de la prostate en particulier, et pour mettre en évidence leur
impact significatif sur les hommes à travers l’Europe et le fardeau qui
pèse sur les soins de santé sociale en Europe.

L’événement réunit les principaux décideurs, experts scientifiques et
associations européennes œuvrant dans le domaine de l’urologie et des
représentants de groupes de patients européens ayant un intérêt dans les
maladies de la prostate. Au cours de cet événement, plusieurs experts
examineront l’impact de la vie avec l’hypertrophie bénigne de la
prostate et le cancer de la prostate et comment nous pouvons améliorer
les soins et habiliter les patients dans l’avenir.

À propos du cancer de la prostate métastatique
résistant à la castration (CPRCm)

Le cancer de la prostate métastatique résistant à la castration (CPRCm)
se produit lorsque le cancer s’est métastasé (répandu) au-delà de la
prostate vers d’autres parties du corps et que la maladie progresse,
bien que la testostérone sérique soit inférieure aux niveaux de
castration. 5

La prostate est une glande, chez les hommes, qui produit une partie du
fluide séminal et qui est située autour de l’urètre (sous la vessie).
Dans certains cas, le cancer de la prostate peut évoluer lentement.
Cependant, en fonction de facteurs comprenant des caractéristiques
spécifiques au patient et à la tumeur, le cancer de la prostate peut
également évoluer rapidement et s’étendre largement.6

En 2012, plus de 400 000 nouveaux cas de cancer de la prostate ont été
diagnostiqués en Europe, et près de 92 000 hommes en sont morts.3

À propos de Janssen

Les sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson s’emploient à
répondre aux besoins médicaux non satisfaits les plus importants de
notre époque, et à leur apporter une solution, notamment en oncologie
(p. ex., myélome multiple et cancer de la prostate), immunologie (p.
ex., psoriasis), neuroscience (p. ex., schizophrénie, démence et
douleur), maladies infectieuses (p. ex., VIH/SIDA, hépatite C et
tuberculose) et maladies cardiovasculaires et métaboliques (p. ex.,
diabète). Motivés par notre engagement envers les patients, nous mettons
au point des solutions durables et intégrées en matière de soins de
santé, en travaillant côte à côte avec des professionnels de la santé et
en comptant sur des partenariats basés sur la confiance et la
transparence. Pour de plus amples renseignements, visitez le site www.janssen-emea.com.
Suivez-nous sur Twitter : www.twitter.com/janssenEMEA
pour apprendre les dernières nouvelles.

À propos Janssen en oncologie

En oncologie, notre objectif est d’altérer fondamentalement la manière
dont le cancer est perçu, diagnostiqué et géré, afin de renforcer notre
engagement envers les patients qui nous inspirent. En cherchant à
trouver des moyens novateurs de traiter le cancer, nous nous concentrons
nos principaux efforts sur plusieurs solutions de traitement et de
prévention. Cela inclut les domaines thérapeutiques qui mettent l’accent
sur les tumeurs malignes hématologiques et le cancer de la prostate ;
l’interruption des cancers avec pour objectif le développement de
produits qui interrompent le processus cancérogène ; les biomarqueurs
qui pourraient guider l’utilisation ciblé et individualisée de nos
thérapies ; ainsi que l’identification et le traitement sûrs et
efficaces des premiers changements dans le microenvironnement tumoral.

# # #

Références

1 Le rapport « Prostate Cancer: Living, not just surviving
»
. Disponible à l’adresse : http://www.janssen-emea.com/hpc/reports/Living-prostate-cancer

2 Commission européenne. CORDIS Express: Prevention,
diagnosis and treatment of prostate cancer. Disponible à l’adresse : http://cordis.europa.eu/news/rcn/122705_en.html.
Dernier accès : août 2015.

3 Ferlay J et al. Cancer incidence and mortality patterns in
Europe: Estimates for 40 countries in 2012. Eur J Can. 2013;49:1374–
1403.

4 Sant M et al. EUROCARE-4. Survival of cancer patients
diagnosed in 1995–1999. Results and commentary. Eur J of Can.
2009;45:931991.

5 Hotte SJ, Saad F. Current management of castrate-resistant
prostate cancer. Curr Oncol. 2010 September; 17 (Supplement 2):
S72–S79.

6 Mayo Clinic. Prostate Cancer. Disponible à l’adresse : http://www.mayoclinic.com/health/prostate-cancer/DS00043.
Dernier accès : août 2015.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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