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Les nouvelles données de l’étude KEYNOTE-28, l’essai de MSD évaluant KEYTRUDA® (pembrolizumab) sur différents types de cancers, présentées à l’European Cancer Congress 2015

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Les résultats démontrent l’activité anti-tumorale de KEYTRUDA dans
deux cancers gastro-intestinaux

KENILWORTH, dans le New Jersey–(BUSINESS WIRE)–MSD, plus connu sous l’appellation Merck (NYSE:MRK) aux États-Unis et au
Canada, a annoncé aujourd’hui les nouveaux résultats de l’étude de phase
b1 KEYNOTE-028, un essai clinique évaluant l’utilisation de KEYTRUDA®
(pembrolizumab), la thérapie anti-PD-1 de la société, dans de multiples
cancers difficiles à traiter. Les données de cet essai, qui seront
présentées à l’European Cancer Congress (EEC) à Vienne, en Autriche, du
25 au 29 septembre, englobent les premiers résultats de KEYTRUDA dans
deux cancers gastro-intestinaux, le cancer de l’anus avancé et le cancer
des voies biliaires avancé, et viennent s’ajouter au corpus de plus en
plus grandissant de données cliniques de MSD pour KEYTRUDA.

KEYNOTE-028 est une étude panier multi-cohorte continue et
non-randomisée de phase 1b – une conception qui permet l’étude de
plusieurs sous-populations de différentes tumeurs ou types histologiques
dans une étude. Elle évalue l’innocuité, la tolérabilité et l’activité
anti-tumorale de KEYTRUDA en monothérapie (10 mg/kg administrés toutes
les deux semaines) chez plus de 450 patients dans 20 différents types de
cancer. L’étude a été conçue pour évaluer les patients avec des tumeurs
solides avancées qui expriment le PD-L1 et qui n’ont pas répondu à la
thérapie actuelle ou pour lesquels la thérapie actuelle n’est pas
appropriée.

« Les essais novateurs tels que KEYNOTE-028 nous aident à mieux
comprendre l’avantage potentiel de KEYTRUDA dans un large éventail de
cancers difficiles à traiter », a déclaré le Dr Roger Dansey,
vice-président principal et responsable thérapeutique régional du
développement en oncologie de stade avancée, Merck Research
Laboratories. « MSD s’est engagé à évaluer KEYTRUDA dans autant de
tumeurs que possible, et l’expansion de notre programme de développement
clinique au fil des années reflète cet engagement. Nous sommes
encouragés par ces données préliminaires, et nous continueront de
développement de KEYTRUDA afin d’atteindre notre objectif d’aider autant
de personnes atteintes de cancer que possible. »

Le programme de développement clinique de KEYTRUDA s’est rapidement
étendu pour englober plus de 30 types de tumeurs dans plus de 130 essais
cliniques, parmi lesquels plus de 70 essais combinent KEYTRUDA avec
d’autres traitements contre le cancer. Des essais permettant
l’enregistrement de KEYTRUDA en monothérapie recrutent en ce moment des
patients sur le mélanome, le cancer bronchique non à petites cellules
(CBNPC), le cancer de la tête et du cou, le cancer de la vessie, cancer
gastrique, le cancer colorectal, et la maladie de Hodgkin, d’autres
essais étant prévus pour d’autres cancers.

Résultats préliminaires pour le carcinome à cellules squameuses
avancé et le cancer du canal anal (résumé n° 500)

Les résultats observés auprès de 25 patients souffrant du cancer de
l’anus et ayant un prétraitement intensif –présentés dans une session
orale le dimanche 27 septembre par le Dr Patrick Ott du Dana-Farber
Cancer Institute – ont démontré un taux de réponse globale (ORR) de 20 %
(confirmé et non confirmé) (IC à 95 % ; 6,8-40,7) et un taux de contrôle
de la maladie (DCR) de 64 % (IC à 95 % ; 42,5-82,0). Cinq réponses
partielles (IC à 95 % ; 6,8-40,7) ont été observées, et 44 % des
patients (n=11/25) présentaient une maladie stabilisée (IC à 95 % ;
24,4-65,1). En outre, le taux de survie sans progression (SSP) sur 6
mois était de 31,6 % et de 19,7 % sur 12 mois. Au moment de l’analyse,
la durée de réponse était comprise dans une plage de 0,1+ à 9,2+ mois,
la médiane n’ayant pas encore été atteinte. La durée médiane de la
maladie stabilisée était de 3,6 mois (plage : 1,8+ à 11,0+).

Dans l’ensemble, les effets indésirables étaient cohérents avec les
données de sécurité publiées précédemment pour KEYTRUDA. Les effets
indésirables de grade 3-4 relatifs au traitement évalués par les
investigateurs étaient l’augmentation de la thyréostimuline (n=1), la
colite (n=1), la diarrhée (n=1), et une détérioration générale de la
santé physique (n=1). Les effets indésirables à médiation immunitaire
étaient l’hypothyroïdie (n=3) et la colite (n=1). Aucun décès lié au
traitement n’a été enregistré.

Résultats préliminaires pour le cancer des voies biliaires (résumé n°
525)

Les résultats observés auprès de 24 patients souffrant du cancer des
voies biliaires et ayant un prétraitement intensif – publiés dans une
présentation par affiches le samedi 26 septembre par le Dr Yung-Jue Bang
de l’Hôpital universitaire national de Séoul – ont démontré un taux ORR
de 17,4 % (confirmé et non confirmé) (IC à 95 % ; 5,0-38,8) (n=4/23) ;
17,4 % des patients présentaient une maladie stabilisée (IC à 95 % ;
5,0-38,8) (n=4/23). Au moment de l’analyse, trois réponses sur quatre
étaient en cours et la durée médiane de réponse n’avait pas encore été
atteinte (plage 5,4+ à 9,3+ semaines).

Dans l’ensemble, les effets indésirables étaient cohérents avec les
données de sécurité publiées précédemment pour KEYTRUDA. Les effets
indésirables de grade 3-4 relatifs au traitement évalués par les
investigateurs étaient l’anémie (n=1), l’anémie hémolytique auto-immune
(n=1), la colite (n=1) et la dermatite (n=1). Les effets indésirables à
médiation immunitaire étaient l’anémie hémolytique auto-immune (n=1), la
colite (n=1), l’hypothyroïdie (n=1) et l’hyperthyroïdie (n=1). Aucun
décès lié au traitement n’a été enregistré.

À propos de KEYTRUDA® (pembrolizumab)

KEYTRUDA est un anticorps monoclonal humanisé conçu pour bloquer
l’interaction entre la PD-1 et ses ligands, le PD-L1 et le PD-L2. En se
liant au récepteur PD-1 et en bloquant l’interaction avec les ligands du
récepteur, KEYTRUDA libère l’inhibition médiée par la voie PD-1 de la
réponse immunitaire, incluant la réponse immunitaire anti-tumorale.
KEYTRUDA est indiqué pour le traitement de patients atteints d’un
mélanome non résécable ou métastatique avec évolution de la maladie à la
suite d’un traitement avec l’ipilimumab et, en présence d’une mutation
V600 du gène BRAF, à la suite d’un traitement avec un inhibiteur du gène
BRAF. Cette indication est approuvée en vertu de la politique
d’approbation accélérée sur la base des données du taux de réponse
tumorale et de la durabilité de la réaction. L’amélioration de la survie
ou des symptômes liés à la maladie n’a pas encore été établie.
L’approbation continue pour cette indication peut être subordonnée à une
vérification et à la description de l’avantage clinique dans les essais
de confirmation.

Quelques consignes de sécurité importantes pour KEYTRUDA

Des occurrences de pneumonite sont survenues chez 12 des 411 patients
(2,9 %), y compris des cas de grade 2 ou 3 chez 8 (1,9 %) et 1 (0,2 %)
patients, respectivement, recevant KEYTRUDA. Surveiller les signes et
symptômes de pneumonite chez les patients. En cas de suspicion de
pneumonite, procéder à une évaluation par imagerie radiographique.
Administrer des corticostéroïdes en cas de pneumonite de grade 2 ou
supérieur. Suspendre le traitement par KEYTRUDA en cas de pneumonite de
grade 2 ; interrompre définitivement le traitement par KEYTRUDA pour les
pneumonites de grade 3 ou 4.

Des occurrences de colite (y compris la colite microscopique) sont
survenues chez 4 des 411 patients (1 %), y compris des cas de grade 2 ou
3 chez 1 (0,2 %) et 2 (0,5 %) patients, respectivement, recevant
KEYTRUDA. Surveiller les signes et symptômes de colite chez les
patients. Administrer des corticostéroïdes en cas de colite de grade 2
ou supérieur. Suspendre le traitement par KEYTRUDA en cas de colite de
grade 2 ; interrompre définitivement le traitement par KEYTRUDA pour les
colites de grade 3 ou 4.

Des occurrences d’hépatite (y compris l’hépatite auto-immune) sont
survenues chez 2 des 411 patients (0,5 %), y compris un cas de grade 4
chez 1 (0,2 %) patient recevant KEYTRUDA. Surveiller tout changement de
la fonction hépatique chez les patients. Administrer des
corticostéroïdes en cas d’hépatite de grade 2 ou supérieur et, en
fonction de la gravité des élévations d’enzymes hépatiques, suspendre ou
arrêter le traitement par KEYTRUDA.

Des occurrences d’hypophysite sont survenues chez 2 des 411 patients
(0,5 %), y compris 1 cas de grade 2 et 1 cas de grade 4 (0,2 % chacun)
parmi les patients recevant KEYTRUDA. Surveiller les signes et symptômes
d’hypophysite (y compris l’hypopituitarisme et l’insuffisance surrénale)
chez les patients. Administrer des corticostéroïdes en cas d’hypophysite
de grade 2 ou supérieur. Suspendre le traitement par KEYTRUDA en cas
d’hypophysite de grade 2 ; suspendre ou arrêter le traitement par
KEYTRUDA en cas d’hypophysite de grade 3 ; et interrompre définitivement
le traitement par KEYTRUDA en cas d’hypophysite de grade 4.

Des occurrences d’hyperthyroïdie sont survenues chez 5 des 411 patients
(1,2 %), y compris des cas de grade 2 ou 3 chez 2 (0,5 %) et 1 (0,2 %)
patients, respectivement, recevant KEYTRUDA. Des occurrences
d’hypothyroïdie sont survenues chez 34 des 411 patients (8,3 %), y
compris un cas de grade 3 chez 1 (0,2 %) patient recevant KEYTRUDA. Des
troubles de la thyroïde peuvent survenir à tout moment au cours du
traitement. Surveiller tout changement de la fonction thyroïdienne chez
les patients (au début du traitement, puis périodiquement pendant le
traitement, et selon les indications de l’évaluation clinique), ainsi
que tout signe et symptôme cliniques de troubles de la thyroïde.
Administrer des corticostéroïdes en cas d’hyperthyroïdie de grade 3 ou
supérieur. Suspendre le traitement par KEYTRUDA en cas d’hyperthyroïdie
de grade 3 ; interrompre définitivement le traitement par KEYTRUDA en
cas d’hyperthyroïdie de grade 4. L’hypothyroïdie isolée peut être
contrôlée avec un traitement de suppléance sans interruption du
traitement et sans corticostéroïdes.

Des cas de diabète sucré de type 1, y compris l’acidocétose diabétique,
ont été signalés chez les patients recevant KEYTRUDA. Surveiller le taux
d’hyperglycémie ainsi que d’autres signes et symptômes du diabète chez
les patients. Administrer de l’insuline dans le diabète de type 1, et
suspendre KEYTRUDA en cas d’hyperglycémie grave jusqu’à ce que le
contrôle métabolique soit atteint.

La néphrite est survenue chez 3 patients (0,7 %), dont un cas de
néphrite auto-immune de grade 2 (0,2 %) et deux cas de néphrite
interstitielle avec insuffisance rénale (0,5 %), l’un de grade 3 et
l’autre de grade 4. Surveiller tout changement de la fonction rénale
chez les patients. Administrer des corticostéroïdes en cas de néphrite
de grade 2 ou supérieur. Suspendre le traitement par KEYTRUDA en cas de
néphrite de grade 2 ; interrompre définitivement le traitement par
KEYTRUDA pour les néphrites de grade 3 ou 4.

D’autres effets indésirables à médiation immunitaire cliniquement
importants peuvent survenir. Les effets indésirables à médiation
immunitaire cliniquement importants suivants ont été observés chez les
patients traités avec KEYTRUDA : dermatite exfoliatrice, uvéite,
arthrite, myosite, pancréatite, anémie hémolytique, crises épileptiques
partielles survenues chez un patient avec des foyers inflammatoires dans
le parenchyme du cerveau, dermatite sévère, y compris la pemphigoïde
bulleuse, syndrome myasthénique, névrite optique et rhabdomyolyse.

En cas de soupçon d’effets indésirables à médiation immunitaire,
procéder à une évaluation adéquate afin de confirmer l’étiologie ou
d’exclure d’autres causes. En fonction de la gravité de l’effet
indésirable, suspendre KEYTRUDA et administrer des corticostéroïdes.
Après l’amélioration de l’effet indésirable au grade 1 ou inférieur,
entamer une réduction progressive de l’administration des
corticostéroïdes et continuer pendant au moins 1 mois. Reprendre le
traitement par KEYTRUDA si l’effet indésirable reste au grade 1 ou
inférieur. Arrêter définitivement KEYTRUDA pour tout effet indésirable à
médiation immunitaire grave ou de grade 3 qui se reproduit et pour tout
effet indésirable à médiation immunitaire potentiellement mortel.

Des réactions liées à la perfusion, y compris des réactions graves et
des réactions potentiellement mortelles, ont été observées chez des
patients recevant KEYTRUDA. Surveiller les signes et les symptômes de
réactions liées à la perfusion chez les patients, y compris les
frissons, une respiration sifflante, le prurit, les bouffées
congestives, les éruptions cutanées, l’hypotension, l’hypoxémie, et la
fièvre. En cas de réaction grave ou potentiellement mortelle, arrêter la
perfusion et arrêter définitivement le traitement par KEYTRUDA.

Compte tenu de son mécanisme d’action, KEYTRUDA peut nuire au fœtus
lorsqu’il est administré à une femme enceinte. S’il est utilisé pendant
la grossesse, ou si la patiente tombe enceinte durant le traitement,
informer le patient du risque potentiel pour le fœtus. Conseiller aux
femmes en âge de procréer d’utiliser une méthode contraceptive hautement
efficace pendant le traitement et pendant 4 mois après la dernière dose
de KEYTRUDA.

KEYTRUDA a été abandonné en raison des effets indésirables dans 9 % des
411 patients. Les effets indésirables, rapportés chez au moins deux
patients, qui ont entraîné l’abandon de KEYTRUDA étaient : la
pneumonite, l’insuffisance rénale, et la douleur. Des effets
indésirables graves ont été observés chez 36 % des patients. Les effets
indésirables graves les plus fréquents, observés chez 2 % des patients
ou plus, étaient l’insuffisance rénale, la dyspnée, la pneumonie et la
cellulite.

Les effets indésirables graves les plus communes (signalés chez au moins
20 % des patients) étaient la fatigue (47 %), la toux (30 %), la nausée
(30 %), le prurit (30 %), les éruptions cutanées (29 %), la perte
d’appétit (26 %), la constipation (21 %), l’arthralgie (20 %), et la
diarrhée (20 %).

La dose recommandée de KEYTRUDA est de 2 mg/kg administrée en perfusion
intraveineuse de 30 minutes toutes les 3 semaines jusqu’à progression de
la maladie ou une toxicité inacceptable. Aucune étude formelle
d’interaction médicamenteuse pharmacocinétique n’a été réalisée avec
KEYTRUDA. On ignore si KEYTRUDA est excrété dans le lait maternel
humain. Étant donné que de nombreux médicaments sont excrétés dans le
lait maternel humain, recommander aux femmes d’interrompre l’allaitement
pendant le traitement par KEYTRUDA. L’innocuité et l’efficacité de
KEYTRUDA n’ont pas été établies chez les patients pédiatriques.

Nos travaux sur le cancer

Notre objectif est de traduire les percées de la science en médicaments
novateurs en oncologie afin d’aider les personnes atteintes de cancer
dans le monde entier. À MSD Oncology, notre passion est d’aider les gens
à combattre le cancer et notre engagement est de soutenir
l’accessibilité à nos médicaments de cancer. Nous sommes dédiés à
poursuivre la recherche en immuno-oncologie et nous accélérons chaque
étape du parcours – du laboratoire à la clinique – afin d’éventuellement
offrir un nouvel espoir aux les personnes atteintes de cancer. Pour de
plus amples informations à propos de nos essais cliniques dans le
domaine de l’oncologie, veuillez visiter www.merck.com/clinicaltrials.

À propos de MSD

MSD est aujourd’hui un chef de file mondial de l’industrie des soins de
santé dédié à améliorer le bien-être dans le monde. MSD est une marque
de commerce de Merck & Co., Inc., avec son siège social situé à
Kenilworth, dans l’État du New Jersey, aux États-Unis. Au travers de nos
médicaments soumis à prescription, vaccins, thérapies biologiques et
produits de santé vétérinaire, nous travaillons en collaboration avec
nos clients et délivrons nos solutions de santé innovantes dans plus de
140 pays. Nous démontrons également notre engagement à améliorer l’accès
aux soins de santé à travers des politiques, programmes et partenariats
d’envergure.

Déclarations prospectives de Merck & Co. Inc., Kenilworth, New
Jersey, États- Unis

Le présent communiqué de presse de Merck & Co. Inc., Kenilworth, New
Jersey, États-Unis (la « société ») comporte des « énoncés prospectifs »
au sens des dispositions Safe Harbor de la Private Securities Litigation
Reform Act de 1995 des États-Unis. Ces énoncés sont basés sur les
croyances et les attentes actuelles de la direction de la société et
comportent un certain nombre de risques et d’incertitudes. Il ne peut
pas être garanti, relativement aux produits du portefeuille de la
société, que ces derniers recevront les approbations nécessaires des
autorités de réglementation ou qu’ils connaîtront un succès commercial.
Si les hypothèses sous-jacentes s’avéraient inexactes ou si l’un ou
plusieurs de ces risques ou incertitudes venaient à se concrétiser, les
résultats réels pourront différer de façon importante de ceux formulés
dans ces déclarations prospectives.

Les risques et incertitudes incluent, mais sans s’y limiter, les
conditions générales de l’industrie et la concurrence ; les facteurs
économiques généraux, dont les variations du taux d’intérêt et des taux
de change ; l’impact de la régulation de l’industrie pharmaceutique et
de la législation en matière de soins de santé aux États-Unis et dans le
monde ; les tendances globales en matière de maîtrise des dépenses de
santé ; les avancées technologiques, les nouveaux produits et les
brevets obtenus par les concurrents ; les défis inhérents au
développement de nouveaux produits, dont l’obtention de l’approbation
réglementaire ; la capacité de la société de prévoir les futures
conditions du marché ; les difficultés ou délais de fabrication ;
l’instabilité financière des économies internationales et le risque
souverain ; la dépendance de l’efficacité des brevets de la société et
d’autres protections destinées aux produits novateurs ; et l’exposition
aux contentieux, notamment ceux portant sur les brevets, et/ou les
mesures de réglementation.

La société n’assume aucune obligation de mettre à jour l’une quelconque
de ces déclarations ou informations prospectives, que ce soit du fait
d’informations nouvelles, d’événements futurs ou pour toute autre
raison. D’autres facteurs pouvant provoquer un décalage entre les
résultats réels et ceux avancés dans les déclarations prospectives se
trouvent dans le bilan annuel de la société de 2014 sur le formulaire
10-K, ainsi que les autres formulaires de la société auprès de la
Securities and Exchange Commission (SEC) disponible sur le site Internet www.sec.gov.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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