Produits high-tech : des cadeaux de Noël empoisonnés ?

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Familles de France alertent les pouvoirs publics sur les dangers liés aux
produits high-tech à rayonnements électromagnétiques.

Les produits high-tech à offrir à Noël sont-ils dangereux sur la santé ? Oui, affirment de concert l’association familiale Familles de France et le Criirem (Centre de Recherche et d’Information Indépendantes sur les Rayonnements ElectroMagnétiques). C’est le cas pour les oreillettes Bluetooth et les téléphones sans fil. La Fondation suisse IT’S a conduit des investigations sur ces appareils. Même à faible dose de rayonnement électromagnétique, ils induisent un impact sur l’activité cérébrale. C’est le cas également pour les téléphones 3G et les « écoute-bébé ». Et l’impact des rayonnements électromagnétiques est beaucoup plus important sur le cerveau du jeune enfant.

En cause : Le DAS (Débit d’Absorption Spécifique, quantité d’énergie électromagnétique absorbée par n’importe quel organisme, humain ou animal, soumis au rayonnement d’un terminal radioélectrique en fonctionnement) n’est pas ou mal précisé sur les appareils. Or, l’arrêté du 8 octobre impose l’indication de l’indice DAS en matière d’appareils radioélectriques. En outre, les fabricants de téléphones 3G se sont affranchis de l’obligation de communiquer un DAS dans le cadre UMTS ou WiFi. Le seul DAS communiqué concerne le réseau GSM et DCS (Digital Communication Systems).

Les produits high-tech à offrir à Noël sont-ils dangereux sur la santé ? Oui, affirment de concert l’association familiale Familles de France et le Criirem (Centre de Recherche et d’Information Indépendantes sur les Rayonnements ElectroMagnétiques). C’est le cas pour les oreillettes Bluetooth et les téléphones sans fil. La Fondation suisse IT’S a conduit des investigations sur ces appareils. Même à faible dose de rayonnement électromagnétique, ils induisent un impact sur l’activité cérébrale. C’est le cas également pour les téléphones 3G et les « écoute-bébé ». Et l’impact des rayonnements électromagnétiques est beaucoup plus important sur le cerveau du jeune enfant.

En cause : Le DAS (Débit d’Absorption Spécifique, quantité d’énergie électromagnétique absorbée par n’importe quel organisme, humain ou animal, soumis au rayonnement d’un terminal radioélectrique en fonctionnement) n’est pas ou mal précisé sur les appareils. Or, l’arrêté du 8 octobre impose l’indication de l’indice DAS en matière d’appareils radioélectriques. En outre, les fabricants de téléphones 3G se sont affranchis de l’obligation de communiquer un DAS dans le cadre UMTS ou WiFi. Le seul DAS communiqué concerne le réseau GSM et DCS (Digital Communication Systems).

Familles de France et le Criirem ont saisi la Commission de sécurité des consommateurs pour évaluer les dysfonctionnements de la réglementation en vigueur au regard du principe de précaution.