Viacom concède à YouTube un certain droit à la confidentialité de ses données

Mobilité

Dans le procès Viacom vs YouTube, les deux parties sont parvenues à un accord autorisant la plate-forme vidéo de Google à masquer l’identité de ses utilisateurs.

Google et Viacom sont parvenus à un accord dans l’affaire qui les oppose. Le moteur de recherche pourra ainsi remettre au groupe audiovisuel l’historique de connexion de YouTube, tout en préservant l’identité de ses utilisateurs.

En d’autres termes, Viacom ne pourra pas connaître précisément l’identité de chaque utilisateur ayant visionné les vidéos, ni consulter l’historique de visionnage d’un utilisateur spécifique.

En outre, les adresses IP de tous les utilisateurs et les données d’identité des visiteurs seront supprimées de la liste.

Cet accord vient apaiser les inquiétudes de tous ceux qui craignaient que les données ne soient utilisées pour engager des procès contre les utilisateurs ayant chargé ou partagé du contenu piraté.

Au début du mois, un juge a ordonné à YouTube de remettre son fichier-journal (log) comme preuve dans l’affaire opposant la société aux studios et sociétés de radiodiffusion, parmi lesquelles The English and Scottish Premiere Leagues et la National Music Publishers Association.

L’Electronic Frontier Foundation a déclaré pour sa part que si cet accord corrigeait certains problèmes de confidentialité, l’affaire n’en était pas pour autant terminée.

« Cet accord entre Viacom et Google, qui limite volontairement l’étendue des informations communiquées, marque une première étape très utile, mais ne résout pas entièrement ces questions », a déclaré l’avocat de l’EFF Kurt Opsahl.

« Il laisse l’ordonnance du tribunal active et peut être modifié par un nouvel accord entre les parties.

« Les utilisateurs doivent faire confiance aux deux parties pour ne pas modifier les termes du contrat : c’est de cette condition que dépend la force du contrat. »

Google et Viacom sont parvenus à un accord dans l’affaire qui les oppose. Le moteur de recherche pourra ainsi remettre au groupe audiovisuel l’historique de connexion de YouTube, tout en préservant l’identité de ses utilisateurs.

En d’autres termes, Viacom ne pourra pas connaître précisément l’identité de chaque utilisateur ayant visionné les vidéos, ni consulter l’historique de visionnage d’un utilisateur spécifique.

En outre, les adresses IP de tous les utilisateurs et les données d’identité des visiteurs seront supprimées de la liste.

Cet accord vient apaiser les inquiétudes de tous ceux qui craignaient que les données ne soient utilisées pour engager des procès contre les utilisateurs ayant chargé ou partagé du contenu piraté.

Au début du mois, un juge a ordonné à YouTube de remettre son fichier-journal (log) comme preuve dans l’affaire opposant la société aux studios et sociétés de radiodiffusion, parmi lesquelles The English and Scottish Premiere Leagues et la National Music Publishers Association.

L’Electronic Frontier Foundation a déclaré pour sa part que si cet accord corrigeait certains problèmes de confidentialité, l’affaire n’en était pas pour autant terminée.

« Cet accord entre Viacom et Google, qui limite volontairement l’étendue des informations communiquées, marque une première étape très utile, mais ne résout pas entièrement ces questions », a déclaré l’avocat de l’EFF Kurt Opsahl.

« Il laisse l’ordonnance du tribunal active et peut être modifié par un nouvel accord entre les parties.

« Les utilisateurs doivent faire confiance aux deux parties pour ne pas modifier les termes du contrat : c’est de cette condition que dépend la force du contrat. »