Facebook : Paul Ceglia veut déstabiliser Mark Zuckerberg

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Un échange d’e-mails et un contrat tendraient à prouver que Paul Ceglia, un ancien associé de Mark Zuckerberg, peut s’emparer de la moitié du capital du réseau social.

L’horizon de Facebook s’éclaircit sur le front de la procédure judiciaire initiée par les frères Winklevoss.

Mais ce sera de courte durée pour son co-fondateur Mark Zuckerberg.

Paul Ceglia, parfois présenté comme un développeur et parfois comme un homme d’affaires, revendique une participation de 50% du réseau social.

Rien que cela. La genèse de Facebook est décidément tourmentée.

Considéré comme un « artiste en escroquerie » par Facebook, Paul Ceglia persiste.

Le plaignant vient d’ajouter des pièces à son dossier sous forme d’e-mails censés confirmer les droits de propriété.

Il s’agit d’une correspondance électronique entre le plaignant et  Zuckerberg datant du démarrage du réseau social.

Elle tendrait à prouver qu’il existe bel et bien un accord entre les deux hommes.

Et maintenant cet échange d’e-mails a fuité sur Internet.

Paul Ceglia soutient que l’idée de Facebook vient en partie de lui.

Mark Zuckerberg aurait signé un contrat avec lui. Ce document stipule qu’il cède 50% du projet du réseau social qui était tout frais à l’époque en échange d’un investissement de 2000 dollars.

Avant de conclure ce marché Facebook, Paul Ceglia avait fait appel à Mark Zuckerberg pour développer du code sur son projet Streetfax.com (une prestation à 1000 dollars).

La lecture de la correspondance électronique est troublante, révèle Business Insider.

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