France Télécom et Intel explorent ensemble les loisirs numériques

Mobilité

L’accords signé entre l’opérateur télécoms et le fabricant numéro un de processeurs vise à développer des solutions pour faciliter l’accès aux médias numériques au sein des foyers.

Les loisirs numériques et les technologies de communication ont de l’avenir au sein des demeures familiales. C’est du moins l’avis de France Télécom et d’Intel. Les deux acteurs ont signé, jeudi 26 novembre, un protocole d’accord « pour le développement conjoint de nouvelles solutions pour la maison numérique », précise le communiqué commun.

Concrètement, l’objectif est de développer des appareils, ou passerelles domestiques, qui faciliteront l’accès, haut débit et sans fil, aux différents médias que sont la musique, la vidéo, les jeux, l’Internet et la téléphonie essentiellement, à partir des différents terminaux installés au sein du foyer : télévision, chaîne hi-fi, console de jeux, ordinateur…

Pour cela, l’opérateur et le constructeur de processeurs mettront en commun une partie de leurs équipes de chercheurs et partageront les budgets R&D. Les détails des échanges n’ont pas été dévoilés. Les droits de propriété intellectuelle qui en découleront seront également partagés et éventuellement exploités de manière exclusive sur une période limitée. Ce qui permettrait de maintenir les concurrents à distance le temps de s’installer sur ce marché du résidentiel jugé prometteur. L’arrivée de l’ultra haut débit avec l’ADSL 2+ (que l’opérateur lancera sur Paris le 1er décembre) devrait accélérer le mouvement.

Pénétrer le marché du résidentiel

Aucune date de lancement produit n’a cependant été précisée. Pour Intel, le partenariat avec France Télécom lui permettra de pénétrer directement dans les foyers résidentiels autrement qu’avec des ordinateurs. Le fondeur cherche depuis longtemps à pénétrer ce marché mais sans vrai succès. Et plusieurs de ses projets, comme les puces pour écrans de télévision haute définition, ont été abandonnés.

France Télécom voit dans la société californienne un fournisseur de semi-conducteurs qui pourrait faciliter l’interopérabilité des équipements et la possibilité de créer de nouveaux services.

Les loisirs numériques et les technologies de communication ont de l’avenir au sein des demeures familiales. C’est du moins l’avis de France Télécom et d’Intel. Les deux acteurs ont signé, jeudi 26 novembre, un protocole d’accord « pour le développement conjoint de nouvelles solutions pour la maison numérique », précise le communiqué commun.

Concrètement, l’objectif est de développer des appareils, ou passerelles domestiques, qui faciliteront l’accès, haut débit et sans fil, aux différents médias que sont la musique, la vidéo, les jeux, l’Internet et la téléphonie essentiellement, à partir des différents terminaux installés au sein du foyer : télévision, chaîne hi-fi, console de jeux, ordinateur…

Pour cela, l’opérateur et le constructeur de processeurs mettront en commun une partie de leurs équipes de chercheurs et partageront les budgets R&D. Les détails des échanges n’ont pas été dévoilés. Les droits de propriété intellectuelle qui en découleront seront également partagés et éventuellement exploités de manière exclusive sur une période limitée. Ce qui permettrait de maintenir les concurrents à distance le temps de s’installer sur ce marché du résidentiel jugé prometteur. L’arrivée de l’ultra haut débit avec l’ADSL 2+ (que l’opérateur lancera sur Paris le 1er décembre) devrait accélérer le mouvement.

Pénétrer le marché du résidentiel

Aucune date de lancement produit n’a cependant été précisée. Pour Intel, le partenariat avec France Télécom lui permettra de pénétrer directement dans les foyers résidentiels autrement qu’avec des ordinateurs. Le fondeur cherche depuis longtemps à pénétrer ce marché mais sans vrai succès. Et plusieurs de ses projets, comme les puces pour écrans de télévision haute définition, ont été abandonnés.

France Télécom voit dans la société californienne un fournisseur de semi-conducteurs qui pourrait faciliter l’interopérabilité des équipements et la possibilité de créer de nouveaux services.