Open innovation : quand la création de valeur vient de l’extérieur

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Bluenove a réuni Alcatel-Lucent, PagesJaunes et Ecomobilité Partenaires (SNCF) pour évoquer l’art de bousculer l’innovation au sein des grands groupes en faisant appel à des électrons libres.

Alcatel-Lucent : gérer un cycle important de l’innovation

Les Bells Labs d’Alcatel-Lucent participent à cette émulsion de « l’open innovation ». C’est le cas par exemple dans le domaine de la 4G (LTE).

Par exemple, le programme NG Connect, présenté lors du CES 2011, tourne autour de l’automobile connectée en très haut débit mobile.

« Cela a démarré aux Etats-Unis. Nous aurons un projet similaire en  Europe », commente Jean-Luc Beylat, Président d’Alcatel Lucent Bell Labs France.

Mais on peut parler aussi de nouvelles communautés autour de l’initiative « Green Touch« .

Ce consortium vise à développer des technologies pour réduire la consommation d’énergie dans les réseaux télécoms.

Le cycle d’innovation est important : produits, services, brevets (30 000 gérés par l’équipementier télécoms d’origine française)…

« 50% de notre chiffre d’affaires est réalisé par des produits qui n’existaient pas il y a un an », constate Jean-Luc Beylat.

Donc, la « rupture » serait un facteur de croissance et « l’open innovation » un vecteur.

L’entremise d’un acteur tiers favoriserait un certain décloisonnement. Elle permettrait même à deux divisions internes d’un groupe à entamer une collaboration…

« Au sein d’Alcatel-Lucent, on pousse une logique d’entreprenariat jusqu’à une certaine limite. Ensuite, il faut entrer dans une logique d’essaimage pour accompagner le développement. »

(Lire la suite page 2 : témoignage de SNCF Ecomobilité Partenaires)

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