Panda Security rafraîchit ses solutions de sécurité grand public

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Panda Security s’appuie sur son concept d’Intelligence Collective pour rendre ses solutions de sécurité 2010 plus réactives et plus fluides, avec l’ajout d’un antivirus gratuit « in the cloud ».

Face à l’accroissement des menaces, Panda Security a donc mis au point tout un arsenal utilisant pleinement le flux Internet pour gérer de manière la plus réactive possible la propagation continuelle de ces logiciels malveillants. « Tout commence par le recueil de l’information et les modèles comportementaux », et ce, par divers moyens : des outils de détections des virus inconnus comme « TruPrenvent », une collecte effectuée auprès des autres éditeurs, l’appel aux utilisateurs pour qu’ils fassent remonter les malwares qui sont susceptibles d’infecter leur PC, ou des services en ligne comme « Infected or not », qui permet à des non clients de Panda Security de tester leur antivirus.

Panda Security utilise ensuite con concept d’Intelligence Collective pour mettre en place un système de classification automatique des fichiers. Ensuite, des antidotes sont élaborés : « pour 94% des malwares repérés, ces antidotes sont construits automatiques », explique M.Mazeau.

Un antivirus gratuit « in the cloud » pour plus de réactivité

L’ensemble de ces technologies a permis à l’éditeur d’élaborer sa propre solution « in the cloud » gratuite : Cloud Antivirus. Cette solution en ligne peut détecter les menaces en temps réel et réduire significativement le délai entre la découverte d’un nouveau malware et la distribution d’une signature aux utilisateurs du logiciel. Cette offre gratuite « permet ainsi à Panda Securité d’enrichir sa base de signatures et d’optimiser les performances de produits grâce au Web », estime Franck Mazeau.

Face à la concurrence que représente le nouvel antivirus gratuit de Microsoft, Microsoft Security Essentials, Panda Security estime que « le retour d’un acteur de taille comme Microsoft sur le marché de la sécurité mérite d’être suivi. Il faut voir comment il va réagir pour faire marcher et évoluer sa solution, car il n’est pas un éditeur spécialiste des solutions de sécurité et des antivirus », analyse Franck Mazeau.

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