Press release

Le MRCC2 a-t-il raté sa cible ? J.D. Power constate que la plupart des investisseurs au Canada ignorent ou ne sont pas familiers avec les nouvelles règles de divulgation des coûts et rendements

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Edward Jones en tête du classement de satisfaction
des investisseurs pour la sixième année consécutive

TORONTO–(BUSINESS WIRE)–Bien que les nouvelles règles en matière de communication et de
divulgation exigeant que les sociétés de gestion de patrimoine partagent
de nouvelles informations au sujet des coûts et rendements des
portefeuilles (MRCC2) soient maintenant pleinement applicables depuis
plus d’un an, 79 % des investisseurs au Canada n’ont toujours pas
connaissance du MRCC2. Par ailleurs, d’après l’étude 2018 de J.D.
Power intitulée  » Canadian Full Service Investor Satisfaction Study, « 
SM
publiée aujourd’hui, même parmi les investisseurs relativement peu
nombreux au courant de l’initiative, un peu moins de la moitié (49 %)
ont effectivement remarqué les modifications associées dans la
communication.

« La modeste connaissance et compréhension du MRCC2 pose des défis et
opportunités constants pour les sociétés de gestion de patrimoine et les
conseillers financiers », a déclaré Mike Foy, directeur principal de
la gestion de patrimoine chez J.D. Power
. « Bien que la crainte du
secteur que les nouvelles obligations de déclaration des coûts et
rendements déclencheraient un exode des investisseurs ne s’est pas
matérialisée, le risque de défections existe toujours. L’étude suggère
que le meilleur moyen pour faire face à ce risque consiste pour les
conseillers à discuter régulièrement et de manière proactive des coûts
et rendements avec leurs clients, plutôt que de les laisser les
découvrir par eux-mêmes. »

L’étude montre que les investisseurs qui connaissent le MRCC2 et ont
remarqué les changements au niveau du format de déclaration — et pour
lesquels leur conseiller a expliqué les coûts au cours des 12 derniers
mois — sont non seulement nettement plus susceptibles que les
investisseurs en général de comprendre leurs coûts (55 % contre 32 %,
respectivement, indiquent une “compréhension complète”), mais aussi bien
plus fidèles à leur société de gestion de patrimoine (58 % y resteront
fidèles “sans aucun doute” au cours des 12-24 prochains mois, contre 46
%) et sont davantage susceptibles de recommander leur société de gestion
de patrimoine (53 % contre 37 %).

« Les conseillers continuent de jouer un rôle essentiel pour que
le MRCC2 atteigne les objectifs d’une meilleure compréhension par les
investisseurs des coûts et rendements », a ajouté M. Foy, précisant que
« le plus grand risque, aussi bien pour les conseillers que pour les
société de gestion de patrimoine, reste l’inaction plutôt que d’agir
pour discuter avec les clients. »

Retrouvez ci-dessous les principales conclusions de l’étude 2018 :

  • Évolution du rôle du conseiller : Le rôle du conseiller
    financier ainsi que les attentes des clients évoluent, en partie en
    fonction de l’âge de l’investisseur. Alors que 15 % des baby boomers1
    se considèrent comme des “Délégants” — ceux qui concèdent toutes les
    décisions à leurs conseillers financiers — c’est le cas pour seulement
    10 % des milléniaux. Simultanément, 39 % des milléniaux se considèrent
    comme des “Validateurs” — ceux qui considèrent leur conseiller
    davantage comme une caisse de résonnance pour leurs propres idées —
    contre seulement 24 % des baby boomers.
  • Le téléphone cellulaire à la traîne : Plus de trois quarts (77
    %) des investisseurs n’ont pas utilisé ou ont essayé une seule fois
    d’utiliser leur application mobile de gestion de patrimoine. Il s’agit
    d’un taux d’adoption et d’utilisation très faible, en comparaison des
    autres canaux et secteurs. Ceux qui ont utilisé la canal mobile notent
    leur expérience nettement moins bien (satisfaction de 716, sur une
    échelle de 1 000 points) que pour les autres canaux comme le téléphone
    (808) ou en ligne (792), suggérant que les sociétés de gestion de
    patrimoine ont beaucoup à faire pour améliorer l’expérience de
    l’utilisateur sur mobile ainsi que pour stimuler l’engagement.
  • Les milléniaux adoptent les robots-conseillers pour réduire les
    coûts :
    Bien que la sensibilisation aux robots-conseillers soit
    comparable auprès des baby boomers (43 %), de la génération X (45 %)
    et des milléniaux (48 %), c’est ce dernier groupe qui est le plus
    susceptible d’adopter la technologie. Près d’un quart (22 %) des
    milléniaux ont utilisé un service de conseil automatisé, contre
    seulement 9 % des investisseurs de la génération X et 3 % des baby
    boomers. Plus de la moitié (52 %) des milléniaux utilisant des
    robots-conseillers ont attribué leur utilisation à un désir de coûts
    réduits.

Classement de l’étude

Edward Jones arrive en tête en matière de satisfaction globale
pour la sixième année consécutive, avec un score de 799. Gestion de
patrimoine Assante
(796) se classe deuxième, tandis que Patrimoine
Hollis
et Financière Banque Nationale se classent ex-æquo en
troisième position (794 chacune). En 2018, la satisfaction globale
s’établit à 785, en hausse par rapport au chiffre de 771 en 2017.

L’étude « Canadian Full Service Investor Satisfaction Study » 2018 mesure
la satisfaction globale des investisseurs vis-à-vis des sociétés
d’investissement à service complet et des institutions financières qui
proposent des services de gestion de patrimoine et de banque privée.
L’étude, réalisée au cours de la période mai-juin 2018, est basée sur
les réponses de plus de 4 400 investisseurs qui travaillent avec un
conseiller financier sur leur compte d’investissement principal.

Pour plus d’informations sur l’étude « Canadian Full Service Investor
Satisfaction Study », rendez-vous sur http://canada.jdpower.com/resource/canadian-full-service-investor-satisfaction-study.

Consultez le communiqué de presse en ligne sur http://www.jdpower.com/pr-id/2018134.

J.D. Power est un chef de file mondial des informations
client, services-conseils, données et indicateurs analytiques. Ces
compétences permettent à J.D. Power d’aider ses clients à améliorer la
satisfaction de la clientèle, la croissance et la rentabilité. Créée en
1968, la société J.D. Power a son siège social à Costa Mesa, en
Californie, et dispose de bureaux desservant l’Amérique du Nord et du
Sud, la zone Asie-Pacifique et l’Europe. J.D. Power est une société de
portefeuille du Groupe XIO, société internationale de placements
alternatifs et de capitaux privés basée à Londres et dirigée par ses
quatre fondateurs : Athene Li, Joseph Pacini, Murphy Qiao et Carsten
Geyer.

À propos de J.D. Power et des règle publicitaires/promotionnelles www.jdpower.com/about-us/press-release-info

Classement de l’étude
Satisfaction globale des
investisseurs « Full Service » canadiens

(sur une échelle de
1 000 points)

Edward Jones   799
Gestion de patrimoine Assante 796
Patrimoine Hollis 794
Financière Banque Nationale 794
BMO Nesbitt Burns 791
Valeurs mobilières Desjardins 789
RBC Dominion valeurs mobilières 788
Scotia McLeod 785

Moyenne du secteur

785
Gestion de patrimoine TD 784
CIBC Wood Gundy 783
Placements Manuvie 772
Raymond James Ltée 772
Groupe Investors 768
Financière Sun Life 767
Valeurs mobilières Credential 759

Source : Étude 2018 de J.D. Power intitulée « Canadian Full Service
Investor Satisfaction Study, »
SM
Les
graphiques et diagrammes extraits de ce communiqué de presse à l’usage
des médias doivent être accompagnés d’une déclaration identifiant J.D.
Power en tant qu’éditeur et l’étude dont il est à l’origine en tant que
source de l’information. Les classements sont basés sur des scores
numériques, et pas nécessairement sur la signification statistique.
Aucune publicité ou autre utilisation promotionnelle ne peut être faite
des informations contenues dans ce communiqué ou des résultats de
l’enquête de J.D. Power sans le consentement exprès écrit préalable de
J.D. Power.

1 J.D. Power définit les générations comme suit : nés avant
le baby-boom (avant 1946) ; baby boomers (nés entre 1946 et 1964) ;
génération X (1965-1976) et génération Y (1977-1994). Les xennials
(1978-1982) et les milléniaux (1982-1994) sont des sous-ensembles de la
génération Y.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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