Certains hackers et indépendants peuvent vivre de programmes et primes de chasse aux bugs informatiques proposés via la plateforme. Mais pas tous.

Certains hackers et indépendants peuvent vivre de programmes et primes de chasse aux bugs informatiques proposés via la plateforme. Mais pas tous.
Mise en question autant par des études que des piratages, la sécurité des imprimantes fait l'objet d'un bug bounty organisé par HP.
Yogosha, qui prône une approche « privée » des bug bountys face au modèle « public » des plates-formes américaines, lève 1,2 million d'euros.
Microsoft lance un programme Bounty associé à Windows 10. Les récompenses peuvent atteindre 250 000 dollars pour les vulnérabilités critiques dans Hyper-V.
Ely de Travieso, élu en charge de la Cyber Sécurité à la CGPME et président du Clusir Paca, nous conseille, sur la pratique de Bug Bounty pour identifier les vulnérabilités de sécurité.
Apple lance à son tour un programme communautaire de chasse aux bugs... sans ouvrir totalement les vannes. Récompense maximale : 200 000 dollars.
Google lance, à l'intention des chercheurs qui dénichent des failles sur Android, un Bug Bounty assorti de récompenses allant jusqu'à 30 000 dollars.
Une équipe d'experts et d'universitaires s'est penchée sur la perception et l'exploitation des failles zero-day par les chercheurs, les Etats... et les cybercriminels.
En association avec HackerOne, Dropbox monte un programme destiné à récompenser les chercheurs qui trouveront des failles de sécurité dans ses produits.