Test Canon ImageFormula P-215 : permis de scanner

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Canon P-215 scanner

ITespresso.fr a testé l’ImageFormula P-215, un scanner d’entrée de gamme que Canon destine essentiellement aux PME.

Connecté… dans une moindre mesure

S’il devait être un qualificatif pour désigner dans son ensemble le système de sauvegarde et de traitement ultérieur des fichiers, l’épithète « intuitif » conviendrait tout particulièrement.

L’ajout automatique, au nom de fichier, de suffixes tels que la date du jour ou de simples marqueurs de hiérarchie ou d’agencement, accélère grandement les démarches d’archivage documentaire.

A destination d’Evernote, Sharepoint ou Google Docs, la transmission n’est guère plus en reste. Les comptes utilisateur liés à ces services sont paramétrés en deux temps, trois mouvements.

Canon y adjoint un module d’impression et l’ouverture directe via une application sélectionnée dans un menu déroulant ou définie au préalable, moyennant la mise en place d’un profil de numérisation.

Rien de transcendant, mais de quoi s’épargner des manipulations autrement chronophages. Qui plus est, qu’importe le processus, une copie de sauvegarde est systématiquement écrite sur le disque, en dehors du répertoire des fichiers temporaires.

Même en cas de corruption de la mémoire vive ou d’un écrasement accidentel du tampon, l’utilisateur recouvre ses données sans encombre.

Un outil de reconnaissance optique de caractères (OCR) couronne le tout d’une piètre performance, tout du moins confronté aux ténors du domaine. Reste que Canon, qui s’est immiscé dans le capital d’Iris, spécialiste du domaine, consent à des efforts louables.

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