Vidéo Emmanuelle Roux (SC21) : « On a recensé une quinzaine de fablabs en France »

Régulations
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Fleur Pellerin veut généraliser les fablabs. Emmanuelle Roux, Associée du cabinet SC21, s’implique dans un « atelier de fabrication numérique ». Elle nous explique leur fonctionnement (salon Planète PME).

A l’instar de Barack Obama aux Etats-Unis, le gouvernement français veut développer les fablabs sur le territoire national.

La semaine dernière, Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Innovation et de l’Economie numérique a organisé la semaine dernière, un atelier de travail sur l’économie numérique collaborative (un « Bercy Jam » quoi), avec l’association OuiShare.

Les fablabs sont perçus comme « un nouveau format de travail révolutionnaire mobilisant à la fois les services de l’Etat et l’écosystème. Il bouge les lignes et permet de construire des politiques publiques innovantes et participatives. »

Un appel à projets a été lancé dans ce sens pour le soutien de développement « d’ateliers de fabrication numérique » (clôture le 13 septembre, sélection des projets soutenus mi-octobre).

Vous en voulez une illustration ? A l’occasion du salon Planète PME organisé à la mi-juin, nous avons rencontré Emmanuelle Roux, Associée du cabinet de stratégie technologique SC21.

Elle s’implique dans un fablab et explique ses mécanismes atypiques en termes de boîtes à idées et le potentiel à transformer une idée en business.

Après la théorie des fablabs, passons à la pratique : découvrez la vidéo Emmanuel Gilloz (profession : « maker ») : comment combiner l’impression 3D et le crowdfunding

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