Voici un effet de l’engouement pour les outils de visioconférence provoquée par le Covid-19. Google Meet, l’application de visioconférence, s’ouvre gratuitement à tous à condition de disposer d’un compte Google. Cette mise à disposition sera progressive, échelonnée sur plusieurs semaines.
Quiconque peut créer et rejoindre des appels, en accédant à une partie des fonctionnalités normalement limitées aux abonnements G Suite. Entre autres, la planification de réunions, le partage d’écran et le sous-titrage temps réel.
Il n’y aura pas de limite de durée par appel… du moins dans un premier temps. Google entend mettre la barrière à 60 minutes après le 30 septembre 2020.
Les entreprises non clientes de G Suite retiendront également la date du 30 septembre 2020. Jusque-là, Google leur donne gratuitement accès à la formule G Suite Essentials. Elle associe Drive à Meet, avec des fonctionnalités avancées dont l’enregistrement des réunions et le live streaming.
Du côté des clients G Suite, on bénéficiera de licences Meet supplémentaires sans avenant au contrat.
Ces licences donneront accès à des fonctionnalités normalement réservées aux éditions Enterprise et Enterprise for Education. Par exemple les réunions jusqu’à 250 personnes et les webinaires à 100 000 participants maximum.
Pour le grand public, reste l’alternative Hangouts, dont l’arrêt de mort est signé, mais toujours pas appliqué. Le service est moins complet que Meet sur le volet visioconférence, mais il y combine messagerie instantanée et appels voix.
Photo d’illustration ©Google
Le trio Microsoft-Tableau-Qlik domine toujours le marché de la Business Intelligence mais les acteurs du…
Face à l'hégémonie de Windows, la croissance de Chrome OS se maintient pour atteindre près…
La souveraineté est l'axe principal de la stratégie nationale de cybersécurité annoncée par le gouvernement…
L'année 2020 a été marquée par un record d'attaques par ransomware, selon le dernier rapport…
Surface Duo fait ses débuts en France avec une entrée de gamme à 1549 €.…
Sous la marque Viva, Microsoft veut développer une offre d'espace de travail « à la…