Première mise à jour majeure pour VLC sur Android depuis décembre 2015.
La version 2.0 fait son entrée avec des performances améliorées et davantage de codecs pris en charge.
Surtout, elle apporte une fonction de balayage du réseau pour découvrir les partages Windows, (S)FTP, NFS et DLNA/UPnP, puis lancer la lecture de contenu avec les sous-titres associés.
Cette nouvelle mouture prend aussi en charge le décodage 100 % hardware, à condition que l’appareil soit compatible. Elle fonctionne avec toutes les versions d’Android à partir de la 2.2 « FroYo » (sortie en mai 2010 !), sur les architectures ARMv6, ARMv7, ARMv8, MIPS et x86.
VLC 2.0 offre également la possibilité de placer des dossiers et des URL en favoris, ainsi que de créer des listes de lecture composées de vidéos.
On notera par ailleurs l’intégration du système d’autorisations granulaires d’Android 6.0 : à moins que l’utilisateur lui accorde définitivement la permission d’accéder aux médias, l’application le demandera systématiquement (c’est d’ailleurs la seule chose qu’elle demandera, dans un souci de confidentialité).
Concernant les sous-titres, leur téléchargement peut désormais se faire via OpenSubtitles, directement dans l’interface de VLC. Le format RTL (« Right-to-Left » est pris en charge au même titre que le CTL (« Complex Text Layout »).
Option particulièrement pratique sur les tablettes : les vidéos peuvent être décloisonnées dans une fenêtre de type pop-up, pour favoriser le multitâche. Les systèmes de multifenêtrage LG Dual Window et Samsung MultiWindow sont exploitables.
Pour installer l’application, on téléchargera directement l’APK ou on passera par les places de marché d’Amazon et de Google.
Sur le Play Store, les avis sont partagés, entre ceux que la mise à jour ne permet plus d’utiliser un second écran, ceux chez qui VLC reconstitue à chaque lancement la bibliothèque de vignettes associées aux vidéos et ceux qui regrettent de ne pas pouvoir sauvegarder les paramètres de l’égaliseur.
À noter que la version 2.0.0 sur les plates-formes desktop remonte à février 2012. Elle apportait une prise en charge expérimentale des Blu-ray, s’ouvrait à des codecs 10 bits et introduisait divers filtres de suppression du bruit, de désentrelacement ou encore de décompression audio.
Crédit photo : sonsam – Shutterstock.com
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