Test Kodak Scanmate i920 : faire du scanner le plus bel objet du bureau

Configuration logicielle

Des suites d’une installation qui est tout au plus l’affaire de trois minutes, l’initialisation logicielle est immédiate, bien que le pilote SmartTouch, censé apporter des fonctionnalités additionnelles, refuse systématiquement de s’installer sur la configuration d’ITespresso, à base d’un Windows 7 Home.

Un dossier ISIS fait son apparition dans le menu démarrer. Outre la prise en charge de multiples interfaces de numérisation, il ouvre l’accès à un serveur de partage du Scanmate sur un réseau local.

L’appareil étant dépourvu d’une connexion au réseau, il est nécessaire de mettre en place une passerelle sur l’ordinateur auquel il est relié. Les assistants de configuration de Windows s’en chargeront.

Ce paramétrage effectué, le scanner apparaît dans la rubrique « Périphériques et Imprimantes ». Un clic droit sur l’icône représentative affiche un menu contextuel dont l’un des éléments redirige vers une fenêtre de définition des profils.

C’est par un double-clic que s’affiche la fenêtre de numérisation. L’utilisateur y spécifie le format de sortie (pas de PDF ou de fichier texte par défaut, mais des images JPG, BMP, PNG et TIFF), la source (recto-verso ou une seule face) ainsi qu’une correction éventuelle de la luminosité et du contraste.

A chaque subtilité son temps d’adaptation consécutif. Quoique celle-ci n’en est pas vraiment une. Il s’agit plutôt d’un casse-tête commun à tous les néo-détenteurs de tels dispositifs : dans quel sens positionner la feuille ?

Sans vitre ni marquage évocateur, quelques essais infructueux suffisent à faire la mire et constater que la partie supérieure gauche d’un document se positionne, tout à l’inverse, en bas à droite, en vis-à-vis de capteurs situés de part et d’autre de la feuille.

Dans l’éventualité d’une numérisation du simple recto, le module inférieur a la priorité. Concrètement, c’est la face blanche au-dessus !