Recrutement : comment développer l’esprit « entrepreneur en interne »
En termes de recrutement, IBM rencontre a priori les même soucis que ses homologues IT : comment attirer les talents et comment les retenir ? Attirer les ingénieurs dans le secteur informatique reste une priorité.
IBM mène des actions ciblées dans les écoles comme Supelec « pour redorer le blason du numérique par rapport à d’autres secteurs comme la finance ».
La branche française, qui affiche 11 000 collaborateurs au compteur, compte procéder au recrutement d’un millier de personnes en 2011 (même niveau qu’en 2011).
Elle compte également puiser dans le vivier des experts en mathématique, domaine dans lequel excelle la France (IBM l’a bien compris en procédant à l’acquisition d’Ilog bouclée en 2008).
Pour motiver les troupes et les candidats, Alain Bénichou assure qu’il existe chez IBM des moyens d’être un « entrepreneur en interne ».
IBM a même monté son propre programme de soutien aux jeunes pousses (Global Entrepreneur), à l’instar d’un BizSpark côté Microsoft.
Mais on sent bien que la bataille du recrutement est tendue face à des boîtes attractives comme Google.
Alain Bénichou prône un modèle en T pour capitaliser sur les compétences en interne (« connaissance sur la globalité de l’offre IBM plus une profondeur sur une spécialité (technique, industriel…) ».
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