FullBooster : FullSix devient un « accélérateur » de start-up

FullBooster : des moyens de tenir 12 à 18 mois

Le ticket moyen pour les start-up intégrées à l’incubateur devrait tourner autour à un montant équivalent à 500 000 euros, dont une petite minorité en liquide.

« De quoi faire fonctionner la jeune pousse 12 à 18 mois. Au bout de cette période, on regarde si on veut renforcer l’investissement ou arrêter le projet. »

« On s’adresse à des projets très ‘early stage’. Ce peut être des projets ou de simples idées, mais on vérifie qu’il y a une ambition large au niveau européen, une place sur le marché et un business model solide, » affirme Jean-Michel Neyret.

La structure pourra accueillir 5 à 6 projets par an, retenus sur les 150 projets que Jean-Michel Neyret s’attend à recevoir (23 projets ont déjà été reçus au cours de la dernière semaine de 2011).

Les principaux critères de sélection : « Y-a-t-il un business model solide ? Quelle est la qualité de l’entrepreneur ? Et enfin, nous recherchons le plus de synergies possible avec nos autres projets. »

Full Booster a ouvert ses portes à Paris fin septembre 2011 et accompagne déjà deux projets.

Urban Safari a bénéficié d’un soutien de 200 000 euros pour créer une application mobile mêlant jeux social, réalité augmenté et virtualisation.

Le second, DforDeals, est un site d’enchères inversées.

Les entrepreneurs, qui veulent se rapprocher de FullBooster, pourront trouver la marche à suivre sur le site Internet dédié.

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