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Intel vise « la haute mobilité » avec l’ultrabook

Ultrabook : au-delà des tentatives précédentes qui ont échoué

Le fondeur a des exigences dans la présentation du concept.

Dans une contribution blog en date du 28 juillet, Becky Emmett, en charge des relations média pour la division Global Communication Group, considère qu’un ultrabook repose sur plusieurs caractéristiques.

Il sera basé sur des processeurs Intel Core à basse consommation, il sera reconnaissable par sa finesse, il embarquera la fonction Intel Rapid Start Technology pour faciliter un démarrage rapide et économiser 5 heures d’autonomie de batterie voire plus.

Dans ce concept de portable ultralight, d’autres fonctions Intel de sécurité IT seront intégrées comme Anti-Theft Technology ou Identify Protection Technology.

Néanmoins, Roger Kay d’Endpoint Technologies Associates modère son enthousiasme dans son analyse.

Des tentatives antérieures de nouveaux formats de PC portables « légers » ont été accueillies plus ou moins chaleureusement par le public : « ultraportable », « ultrathin » et « smartbooks ».

Qu’importe les tentatives précédentes. Roger Kay se montre enthousiaste sur la dimension de « haute mobilité » qui était jusqu’ici réservée – dans sa vision – qu’aux mondes des smartphones et des tablettes.

« Je suis ouvert pour élargir cette catégorie à l’ultrabook d’Intel », conclut-il.

Adaptation en français d’un article eWeek.uk : Intel Targets High-End Mobility With Ultrabooks (17/08/11)

Ultrabook : ce sera vraiment pas cher ?

La déferlante ultrabook semble programmer pour septembre. Présenté par Intel lors du Computex de Taïwan, ce concept de PC portable ultra-léger devrait réunir puissance, design et compacité des netbooks qui inondent le marché depuis 2007. Selon DigiTimes, Asus devrait inaugurer la vague des Ultrabooks avec le modèle UX21. Fin et compact, ce modèle disposerait d’une dalle 12 pouces et d’un processeur i5 à 1,7 GHz. Asus lui adjoint un disque dur SSD de 6 Gigabit/s. Néanmoins, on peut se demander si les ultrabooks à moins de 1000 dollars/euros verront vraiment le jour…Selon Silicon.fr, en raison du coût élevé des composants (et surtout des processeurs Intel), le fondeur de Santa Clara aurait refusé de diviser par deux le prix de ses puces, à la demande de plusieurs constructeurs partenaires en Asie. Difficile dans ce cas de maintenir le niveau tarifaire. Au mieux, Intel serait prêt à consentir un effort de 20 %.

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