Utilisant de nouveaux algorithmes, le moteur de recherche Wolfram Alpha emploie actuellement environ 150 personnes. Il s’appuie notamment sur deux outils mis au point par le mathématicien britannique : Mathematica, un logiciel dédié aux calculs, et la NKS (New Kind of Science), une thèse qui met en exergue la multiplication de règles simples qui serait à l’origine de la complexité.
Un moteur qui a encore besoin d’être enrichi…
Néanmoins, Wolfram Alpha présente encore quelques lacunes, certainement dues à la jeunesse de cette méthode de recherche en ligne. Tous les thèmes et tous les noms pouvant faire l’objet d’une recherche ne sont pas encore répertoriés dans la base de données et ce moteur reste encore un peu pauvre. En cas d’échec, cette réponse s’affiche : « Development on this topic is
under investigation… « (« Le développement de ce sujet faire encore l’objet de recherches… « ).
En outre, les réponses données aux questions sont souvent d’ordre scientifiques ou financièrs.. A la question « Que fait Microsoft ? », Wolfram Alpha propose des données liées à la cotation boursière de la société…
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