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Sécurité IT : Norton Everywhere, de l’infra à l’info

Une stratégie mobile

Moyennement une contribution annuelle de 79,99 euros, Norton Everywhere protège trois terminaux, indépendamment de leur nature et de leur fonction : l’ensemble des écrans connectés, jusqu’aux téléviseurs, sont mis dans le même panier.

Avec le concours de quelque 18 000 développeurs, Symantec s’est ainsi attaché à élargir son écosystème mobile, consacrant à cette entreprise 15% d’un chiffre d’affaires 2011 avoisinant les 6 milliards d’euros.

A l’origine, l’unique solution de protection destinée aux smartphones pâtissait d’un déploiement restreint à la sphère Android, avant une extension du support à la plate-forme iOS, jugée opportuniste, voire vaine à l’époque.

BlackBerry et Symbian laissés au placard « pour d’évidentes raisons de viabilité« , Windows Phone s’affiche également aux abonnés absents. Lui sont privilégiées, les opérations de portage vers Windows 8, « un projet qui avance vite« , selon Homayoun Sarkechik.

Au rendez-vous de cette constellation de smartphones et de tablettes tactiles qui peuplent désormais les foyers français, un contrôle renforcé des applications (181 milliards de téléchargements en 2011, selon le cabinet Gartner), peu importe leur provenance.

Issus des plates-formes officielles (Apple App Store, Android Market) ou de sources tierces, les paquets logiciels sont analysés avant, pendant et des suites de leur installation, en fonction de leur réputation (popularité, nom de l’éditeur), tirée d’une base de plus de 4 milliards d’éléments.

Un tel procédé « permet d’éviter les faux positifs […] et la mise en quarantaine d’éléments certifiés qui souffriraient, aux yeux de Norton, d’une quelconque incohérence, même minime« , explique Symantec.

Pour autant, il convient de remettre en question le devenir de cette solution, alors qu’Apple et Google prennent désormais à bras le corps la sécurisation de leurs OS respectifs.

Côté grands comptes, il n’est point de Norton 360 au programme. Les systèmes de gouvernance et de traçage de l’information qu’édite la branche professionnelle font toutefois l’objet de nombreux partenariats, par exemple avec le ministère français de la Défense.

Et les intéressés de conclure leur démonstration sur une embellie de circonstance : « il ne nous vient pas à l’idée le nom d’une entreprise du CAC40 qui n’ait pas eu recours à un ou plusieurs de nos outils. »

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