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Test Philips ErgoSensor : le « moniteur ange gardien » a du plomb dans l’aile

Un moniteur complet qui se plie en quatre

Proéminente au regard d’un apparat autrement épuré, voire dépouillé (tout particulièrement le socle amovible), la dalle de 24 pouces n’est pas parmi les plus fines de sa catégorie.

Pour autant, l’encombrement général est maîtrisé. Le dispositif occupe peu d’espace sur un bureau conventionnel et reste relativement stable. Les quelques turbulences du quotidien ne suffisent à déloger l’ErgoSensor de son piédestal.

Ajustable en hauteur par un système coulissant activable sans effort, le moniteur s’incline à des angles verticaux satisfaisants, en l’occurrence de -5 à 20 degrés.

En façade, une diode témoin d’un blanc vif agresse bien moins l’oeil que ses pendantes hautes en couleur, jusqu’alors monnaie courante sur les produits Philips.

Les temps changent et avec eux s’instigue une politique de discrétion qui vaut tout autant pour les haut-parleurs internes que pour le panneau de commande tactile, malheureusement peu réactif et dépourvu d’un quelconque rétroéclairage.

Au dos, sur la face cachée du produit, on observe un ultime sursis pour le port VGA, qui ne fait que reporter un arrêt de mort généralisé à l’horizon 2013.

L’interface DVI-I constituera un intermédiaire par excellence pour entériner la transition vers le tout numérique et notamment ce DisplayPort (HDMI).

En guise de complément non négligeable, un concentrateur à 5 ports (trop proches les uns des autres ; un peu de jeu à déplorer) trouve place non loin des orifices de refroidissement.

Pensé tel le couronnement d’un aspect résolument professionnel, le port de sécurité Kensington peine à faire oublier que le seul câble vidéo fourni est au format DVI.

Les adeptes de l’alternative analogique ou du DisplayPort devront mettre la main au porte-monnaie.

Au fin fond d’un volumineux carton d’emballage, un mini-dépliant d’utilisation rapide s’adjoint à un cédérom de pilotes à installer à tout prix pour exploiter la résolution maximale de l’ErgoSensor.

La partie sonore reste quant à elle totalement autonome, avec un port casque à l’avant et une entrée ligne jouxtant une fiche secteur à la connexion lâche. Attention aux éventuelles ruptures subites.

(Lire la suite du test page 3)

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