En plus d’exposer certaines données personnelles contre votre volonté, Facebook pourrait être un repère à malwares dangereux pour ses 500 millions d’utilisateurs.
Selon l’éditeur de sécurité IT BitDefender, 1 membre de Facebook sur 5 a involontairement été la victime d’un vers, cheval de Troie ou autre virus.
Ainsi, pour 20% des utilisateurs du réseau social, leur fil de nouvelles (« news feeds ») aurait servi à transmettre un lien malveillant.
Pour établir ces statistiques, BitDefender a passé au crible quelques 17 millions de messages provenant de 14 000 comptes Facebook, relayés par son application gratuite Safego.
Lancé en octobre dernier, Safego est destiné à protéger des malwares les internautes sur les réseaux sociaux, en détectant automatiquement les faux liens et faux messages transitant sur leur profil Facebook (mur, messagerie, commentaires).
BitDefender ajoute que 60% des malwares détectés par Safego proviennent d’applications tierces, proposant d’accéder à des vidéos, à des jeux gratuits ou à de nouvelles fonctionnalités Facebook, comme un bouton « Je n’aime pas ».
En réalité, si l’internaute clique sur le lien proposé, il peut déclencher l’installation et la propagation de malwares.
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