« Au Japon, Linux est surtout reconnu pour son importance croissante sur le marché des serveurs PC » indique Tatsuo Nakajima, président du consortium Emblix. « Or les acheteurs d’électronique tout comme les fabricants de produits numériques, se montrent intéressés par la flexibilité et la liberté que Linux et les logiciels libres peuvent apporter à leurs projets. Mais ils partagent aussi les mêmes inquiétudes liées à l’open source concernant la maintenance, le support technique et l’assurance de qualité ».
Au sein d’Emblix, on trouve derrière Toshiba, les plus grandes firmes du secteur avec NEC, Mitsubishi, Hitachi, Fujitsu mais aussi des universités telles celles de Toyohashi et Waseda. Sony serait aussi sur le point de prendre sa carte de membre.
Depuis l’année dernière, le manchot de Linux est de plus en plus présent, taquinant les autres systèmes d’exploitation au premier rang desquels figure Windows (voir édition du 27 décembre 1999). Dans le monde des OS dédiés aux appareils électroniques de petite taille, on retrouve au Japon un certain Itron, version industrielle du Tron, qui est aussi un logiciel libre.
Pour en savoir plus :
* L’Emblix (en japonais bientôt en anglais !)
* L’ELC
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