Le groupe français Rhodia, impliqué dans la production d’acide triflique pour les industriels de la chimie, travaille à la mise au point de batteries exploitant cet acide « 500 fois plus puissant que l’acide sulfurique », selon un porte-parole de la société. Ces batteries permettront à l’horizon 2004 de multiplier jusqu’à cinq fois l’autonomie aujourd’hui disponible pour un poids égal. Elles pourront être intégrées dans les téléphones mobiles et les voitures électriques par exemple. Autre avantage, ces batteries continuent de fonctionner à des températures élevées (plus de 30 degrés). Selon Rhodia, cette nouvelle génération de batterie utilisant un électrolyte très acide ne représente pas de risque supplémentaire pour l’environnement.
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