Il va sans dire que ce type d’outil informatique facilitera le travail des sociétés de protection du droit d’auteur, ou de leur prestataire, comme la Société Civile des Producteurs Phonographiques (SCPP) en France. Laquelle a d’ailleurs déposé une demande en ce sens à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (voir édition du 10 janvier 2005).
La solution de BayTSP, facilement administrable via une interface Web, permet même l’envoi automatique d’un message d’avertissement aux internautes visés. Le message s’appuie notamment sur le Digital Millennium Copyright Act (DMCA), la loi américaine sur les copyrights dans l’univers numérique, pour inviter l’internaute à cesser ses activités illégitimes.
Selon BayTSP, identifier la source des mises en ligne et prendre les actions adéquates peut considérablement ralentir le partage des fichiers et même faire réfléchir à deux fois les internautes qui s’adonnent au P2P. Il n’en reste pas moins que seul le fournisseur d’accès (FAI) connaît l’identité des individus repérés par l’adresse IP.
Aux Etats-Unis comme en France, seule une procédure judiciaire peut exiger la communication aux ayants-droits (ou leurs avocats) de l’identité d’un internaute par le FAI. Une lourdeur administrative que les outils de surveillance ne savent pas encore traiter automatiquement.
Microsoft lance Phi-3-mini, un petit modèle de langage (SLM) qui s'adresse aux entreprises ne disposant…
Quelle part d’incertitude faut-il accepter dans la mise en conformité des IA avec le RGPD…
Microsoft a dévoilé les prix des mises à jour de sécurité étendues pour Windows 10.…
Docaposte a sélectionné une douzaine de spécialistes français pour créer un Pack cybersécurité spécialement étudié…
La Surface Pro 10 sera disponible le 9 avril en France. Passage en revue de…
Que réserve Office 2024 ? Une première version de test officielle sera disponible en avril.…