A mi-chemin entre Evernote et Microsoft OneNote, l’outil de gestion de tâches Google Keep n’avait pas fait long feu ce lundi pour sa première apparition publique, s’éteignant au bout d’une demi-heure sur une erreur 404.
Le voici officialisé, intégré à Google Drive en tant que service Web, mais aussi accessible via une application Android (4.0.3 « Ice Cream Sandwich » et versions ultérieures) et son widget conçu pour être utilisé sur l’écran de verrouillage.
Une analyse du code JavaScript sur l’interface en ligne révèle le nom de code « Memento », qui en dit plus encore sur les fondements de l’outil… et ses origines.
Ressuscité, il s’enrichit pour l’occasion : outre le mode texte, les tâches peuvent s’organiser en listes, avec éventuellement des images et des fichiers audio, insérés depuis un dossier ou capturés au vol.
A ces éléments, il est possible d’accoler des annotations et d’attribuer un code couleur.
Google mise surtout sur l’efficacité de son système de synchronisation déjà en vigueur sur la suite bureautique en ligne Documents. On retrouve également une fonction d’archivage comparable à celle de la messagerie électronique Gmail.
Pas encore d’application iOS au programme, bien qu’il en soit officieusement question.
Le ton est donné face à Evernote, ses 50 millions d’utilisateurs dont 1,4 million d’abonnées Premium et sa dernière levée de fonds à 85 millions d’euros fin 2012.
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