Dans une lettre à un groupe américain de défense de la vie privée, le vice-président des affaires gouvernementales d’IBM, Christopher Caine, a indiqué que le constructeur désactivera au niveau du BIOS le code d’identification intégré dans les Pentium III. Le responsable de Big Blue indique que « bien qu’il existe des manières constructives d’utiliser la technologie du processeur pour valider l’identité d’un utilisateur, il existe des inquiétudes légitimes sur les problèmes liés à une utilisation abusive du dispositif ». IBM fera en sorte que « si un consommateur souhaite activer le dispositif, il devra le faire lui-même à travers les paramètres d’installation du BIOS ». Le BIOS est le programme lancé à chaque démarrage de la machine.
Voilà quelques jours, l’inquiétude qu’évoque Christopher Caine s’est récemment cristallisée autour de la révélation du magazine allemand Computer Technologies, qui indiquait la possibilité de donner le fameux code à l’insu de l’utilisateur (voir édition du 25 février 1999).
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