Le contrôleur imaginé par IBM a une double fonction. D’abord, des algorithmes de compression traitent (en quelques nanosecondes, selon le constructeur) les données les moins fréquemment utilisées afin d’occuper moins d’espace en mémoire vive. Les données les plus fréquemment utilisées, elles, sont stockées dans un cache qui exploite le disque dur physique. Selon Big Blue, le contrôleur permettrait de multiplier par deux la capacité mémoire d’un serveur. Inversement, il permet aussi de réduire l’investissement en barrettes de mémoire. « Les économies peuvent être significatives pour les clients, sachant que la mémoire représente entre 40 et 70 % du coût total pour la plupart des configurations de serveurs NT », indique la société.
La technologie MXT ne sera pas commercialisée directement par IBM, mais lancée sous licence par la société ServerWorks. Les premiers serveurs équipés seront disponibles au premier trimestre 2000, à commencer par les serveurs Netfinity d’IBM, au coeur Wintel. Leur coût n’est pas encore communiqué.
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