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IRIS conjugue dématérialisation et externalisation de l’information

Pour intégrer et conjuguer, dans la réflexion d’entreprise, les problématiques de dématérialisation et d’externalisation de l’information, I.R.I.S. sollicite son scanner IRIScan Pro 3 Cloud au-delà des frontières du réseau local.

En toile de fond, un objectif de rationalisation de ces processus visant à simplifier le traitement de l’information numérique, non sans s’inscrire à plus long terme dans l’avènement escompté du zéro papier.

La démarche implique des connecteurs logiciels qui multiplient les scénarios d’acquisition, de tri et d’utilisation des données en conjonction avec des applications tierces, au sein d’un système de gestion documentaire (en l’occurrence, IRISFile).

Cet ensemble permet de numériser tous azimuts, notamment vers des serveurs de messagerie électronique, des visionneuses PDF, des périphériques USB ou encore des partages réseau.

Pour instaurer un degré supplémentaire de souplesse dans la dématérialisation, I.R.I.S. fournit une solution de reconnaissance optique des caractères (Readiris Corporate).

Il en résulte des fichiers directement exploitables au sein de la suite Office, mais aussi de SharePoint.

Cette interaction renforcée avec les outils Microsoft n’est qu’une facette de l’IRIScan, qui explore le cloud de long en large, avec des passerelles vers Skydrive, Google Drive, Box, Dropbox ou encore ownCloud.

Il n’est, en revanche, pas question d’un quelconque lien avec d’autres services Web comme les réseaux sociaux.

Le propos se recentre sur le hardware, qui apporte lui aussi sa dose de flexibilité, avec notamment une numérisation recto-verso, un bac de 50 feuilles en entrée et un format nomade (base amovible pour le transport).

Le scanner, dans toute sa matérialité, affiche tout de même 2,3 kg au compteur, pour un gabarit de 23,5 x 29,7 x 15,8 cm qui reflète sa compatibilité avec le format A4.

La cadence atteint les 15 pages par minute, à condition toutefois d’utiliser l’adaptateur secteur. Le recours à la seul connexion USB 2.0 garantit davantage d’autonomie au profit, mais limite son débit à 7 ppm.

En outre, la vitesse baisse plus on monte en résolution, jusqu’à 300 x 600 ppp (1200 ppp en interpolé). Le taux de compression PDF est plus remarquable : il atteint un facteur 400.

Fort d’une consommation électrique moyenne (30 W), l’IRIScan Pro Cloud 3 se révèle assez bruyant à l’usage (58 dBA).

Affiché à 299 euros TTC prix conseillée pour le lancement commercial le 15 février ; Amazon le référence déjà), il n’embarque pas d’écran tactile. C’est l’un des attributs qui le différencie des modèles de plus haute gamme.

—— A voir aussi ——
Quiz ITespresso.fr : êtes-vous incollable sur les imprimantes ?

Crédit photo : I.R.I.S.

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