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Kyocera optimise le TCO de ses systèmes d’impression pour PME

Dans un contexte d’évolution des environnements de travail motivée notamment par la transition vers le bureau sans papier, Kyocera s’est figuré la nécessité d’intégrer efficacement les systèmes d’impression dans les nouvelles stratégies de gouvernance documentaire.

Articulée autour de l’argument du coût total de possession, la réflexion du groupe high-tech japonais commence à englober plus sensiblement les PME.

Illustration avec l’imprimante laser multifonction TASKalfa 265ci, vouée à intégrer, avec le concours de partenaires revendeurs, des offres « packagées » combinant machines, consommables et services délivrés dans le cadre d’un même contrat, avec une facturation à la page.

Dans cette logique d’optimisation du TCO, Kyocera se propose de personnaliser jusqu’à l’imprimante en elle-même, pour la fondre dans l’environnement de travail et l’intégrer efficacement au workflow.

C’est le rôle de la technologie propriétaire HyPAS. Cette plate-forme ouverte permet au client de développer des solutions dédiées pour automatiser certaines tâches et obtenir – systématiquement – des rapports détaillés sur les économies réalisées.

Passé les options de sécurité (SSL, IPsec…), la fonction Private Print permet aux utilisateurs de retrouver un environnement personnalisé (langue, raccourcis, préférences de numérisation, etc.) manipulable via l’écran tactile couleur de 4,3 pouces implémenté en façade.

L’optimisation du TCO passe aussi par la conception des consommables, la durée de vie du produit ou encore la mise en place de droits d’impression. Des notions inspirées de la solution d’ECM KYOclick, plutôt orientée grands comptes.

Il leur suffit de s’identifier au préalable via un couple identifiant / mot de passe ou une carte électromagnétique (kit à installer en option).

Avec son processeur PowerPC 464 à 800 MHz et sa mémoire vive extensible à 2 Go (1024 Mo en standard), le modèle TASKalfa 265ci affiche une cadence de 26 pages par minute en A4.

La résolution d’impression atteint 600 ppp, avec un délai d’initialisation de 10 secondes pour la première page en monochrome (12 secondes en couleur). La compatibilité est assurée avec le langage PCL6 et – en émulation – PostScript 3.

La capacité en entrée, qui s’élève par défaut à 300 feuilles en 60 g/m² (un grammage de 220 g/m² est toléré), peut atteindre 800 ou 1300 feuilles via des réservoirs optionnels. Le bac situé en sortie accueille jusqu’à 150 feuilles.

Doté d’un port USB hôte, d’un lecteur de cartes Compact Flash et d’une interface Fast Ethernet, la 265ci peut accueillir un contrôleur d’extension Ethernet Gigabit, mais pas de module sans fil Wi-Fi.

En outre, son empreinte sur le poste de travail n’est pas négligeable (près de 40 kg). La consommation électrique (475 W) s’en ressent, plus que les nuisances sonores (48 dBA en crête).

—— A voir aussi ——
Quiz ITespresso.fr : les imprimantes, ça vous connaît ?

Crédit photo : Kyocera

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