Le tribunal du de l’Etat Delaware a finalement tranché en faveur de la fusion entre Hewlett-Packard et Compaq. L’instance judiciaire a ainsi rejeté l’action en justice de Walter Hewlett qui contestait la régularité du vote. Le principal opposant à la fusion, estimait en effet que le groupe, présidé par Carly Fiorina, avait fait pression sur un des gros actionnaires, la Deutsche Bank en l’occurence, en le menaçant d’annuler une ligne de crédit de plusieurs milliards de dollars négociée avec la banque allemande.
Le dernier obstacle au rachat de Compaq Computer par Hewlett-Packard a donc été levé.
Walter Hewlett annonce qu’il ne fera pas appel de cette décision. Et alors qu’il ne siège plus au conseil d’administration d’HP, il a même déclaré mardi soir, qu’il travaillerait à l’intégration des deux sociétés. Les actionnaires de HP ont approuvé à 51,4 % contre 48,6 % la fusion entre les deux sociétés (voir édition du 18 avril 2002).
La fusion qui doit débuter le 7 mai, devrait constituer le deuxième groupe informatique mondial derrière IBM, avec un chiffre d’affaires d’environ 80 milliards de dollars. Toutefois, le prix à payer reste fort. Le rapprochement des deux sociétés devrait s’accompagner de la suppression d’environ 15 000 postes.
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