Rebondissement dans l’affaire du PowerBook G4, selon nos confrères du LA Times. La machine qui aurait fait sonner les alarmes et bloqué le Terminal A de l’aéroport de Burbank en Californie (voir édition du 24 avril 2001) : le coupable n’était pas celui qu’on croyait, le fameux TiG4 d’Apple, mais son compagnon de route, le sac de voyage le contenant. C’est sur lui que des résidus chimiques ont été finalement trouvés après une fouille au corps digne des meilleurs romans d’espionnage. Leur propriétaire, fin saoul, n’aura pas été en mesure de s’expliquer avant la soirée. Les Américains se sentent soulagés, la sécurité aéroportuaire est sauve, même si une passagère a considéré que son mariage prévu à Las Vegas pour le soir était définitivement raté. L’histoire ne dit pas si l’armée américaine considère que le TiG4 est considéré comme une arme, au même titre que le PowerMac G4. Le FBI aurait sans doute désormais un avis positif à donner.
Pour en savoir plus :Le site du LA Times (en anglais)
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