Suite à de multiples attaques sur ses sites institutionnels ou « de production », l’armée américaine a choisi MacOS pour gérer son réseau, en lieu et place de Windows NT (voir édition du 16 mars 2000). Si certains pouvaient douter de la plus grande capacité de résistance de la première solution sur la seconde, aucun doute n’est désormais permis après l’attaque dont a été victime l’un des sites équipés à la fois de serveurs MacOS et de machines sous Windows NT. Alors que les deux serveurs NT sont « tombés » assez vite, les serveurs Apple sont non seulement restés en activité, mais de plus ils ont permis aux autorités américaines de remonter rapidement vers les coupables, en l’occurrence des pirates brésiliens.
D’après le W3C (World Wide Web Consortium), la meilleure protection offerte par les machines Apple vient du fait que le système d’exploitation des machines à la Pomme ne possède pas de shell et ne permet pas la prise de contrôle à distance.
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