Réunis à Bruxelles en fin de semaine dernière, les ministres des télécommunications des quinze pays de l’Union Européenne, n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur la valeur à accorder aux signatures électroniques utilisées pour sécuriser les transactions commerciales sur Internet. S’ils ont reconnu la nécessité de telles signatures pour garantir les échanges, les négociations ont achoppé sur le niveau de sécurité à donner à ces signatures pour qu’elles soient l’équivalent de signatures manuscrites. La France, l’Allemagne, l’Italie et le Portugal sont partisans d’un niveau de sécurité maximal alors que la Grande-Bretagne, le Danemark, la Suède et les Pays-Bas pensent qu’une trop grande rigueur risque de ralentir la mise en place d’un système européen commun.
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