Tous les logiciels de cryptage conçus aux Etats-Unis vont maintenant pouvoir être exportés sans licence, quelle que soit leur puissance de codage : un simple contrôle technique administratif suffira désormais. Cette décision de l’administration américaine met fin à plus de 50 ans d’une frilosité issue de la Guerre froide, qui visait à surveiller toute les méthodes de cryptage, de peur qu’elles ne soient utilisées dans des activités d’espionnage.
Certains contrôles restent toutefois en vigueur. Ainsi, sept pays, accusés par les Etats-Unis de soutenir le terrorisme, auront besoin d’une licence pour utiliser ces méthodes de cryptage : ce sont l’Iran, l’Irak, la Libye, la Syrie, le Soudan, la Corée du Nord et Cuba. De plus, les destinataires de logiciels de cryptage aux clés supérieures à 64 bits devront être identifiés.
C’est essentiellement sous la pression de l’industrie et des groupes de pressions citoyens qu’a agit l’administration. Mais cette mesure permettra surtout aux entreprises exportatrices américaines de gagner la confiance de davantage de clients.
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