Les pages Web infectées par des malwares sont de plus en plus nombreuses. Les liens piégés cèdent aujourd’hui la place à une technique consistant à utiliser du code malicieux écrit en JavaScript, lequel est chargé d’exploiter les faiblesses des navigateurs Web, souligne Silicon.fr.
La réponse s’organise face à cette nouvelle menace. Ainsi, de nombreux butineurs intègrent dorénavant un filtre permettant d’éviter les sites dangereux.
Certains proposent même un bac à sable sophistiqué qui isole l’application du système d’exploitation, ou même la page Web des autres éventuellement chargées.
Les équipes de Microsoft Research travaillent aujourd’hui à la mise au point d’un nouvel outil : Zozzle.
Une information dévoilée par le site Threatpost de Kaspersky Lab. Ce logiciel s’intègre au sein du navigateur Web et permet de tester la dangerosité du code JavaScript présent dans les pages visitées par l’internaute.
À cet effet, il s’appuie sur une base de données des malwares les plus courants. Si cet outil est flexible et rapide, il ne sera pas à 100 % efficace, le code JavaScript pouvant être rendu très difficile à étudier.
Cette approche pro-active sera donc complémentaire aux techniques utilisées actuellement. Elle n’est en tout cas pas dénuée d’intérêt et pourrait donner des idées aux autres concepteurs de navigateurs. Plus de détails sur Zozzle sont disponibles au sein de ce PDF.
Microsoft lance Phi-3-mini, un petit modèle de langage (SLM) qui s'adresse aux entreprises ne disposant…
Quelle part d’incertitude faut-il accepter dans la mise en conformité des IA avec le RGPD…
Microsoft a dévoilé les prix des mises à jour de sécurité étendues pour Windows 10.…
Docaposte a sélectionné une douzaine de spécialistes français pour créer un Pack cybersécurité spécialement étudié…
La Surface Pro 10 sera disponible le 9 avril en France. Passage en revue de…
Que réserve Office 2024 ? Une première version de test officielle sera disponible en avril.…