Alors que bon nombre d’observateurs voyaient dans l’intervention des régulateurs européens et des gouvernements l’obstacle principal à une fusion DT-IT, les actionnaires de l’opérateur italien en ont décidé autrement. Ces derniers ont cédé aux sirènes d’Olivetti (voir édition du 25 février 1999) en lui revendant plus de 51% de leurs parts. La prise de contrôle, qui laisse présager pour certains analystes une démission massive du conseil d’administration, remet sérieusement en cause les chances de Deutsche Telekom. Alors que le président du groupe allemand Ron Sommer estime conserver des chances pour boucler la fusion avec TI, la compagnie considère déjà une voie de sortie avec l’acquisition d’une autre société non nommée dès cette année, suivie de deux rachats en 2000. Les rumeurs évoquent notamment l’opérateur britannique Cable & Wireless, et parient sur un partenariat d’envergure avec Microsoft, le numéro un mondial du logiciel qui se convertit depuis peu aux logiciels et services pour réseaux câblés.
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