Un nouveau pas a été franchi dans la guerre livrée aux maisons de disques par le groupe de rap Public Enemy. Déjà fâché avec Polygram après la diffusion sans autorisation de plusieurs de ses titres au format MP3, Public Enemy s’est associé à la société GMO (Global Music Outlet) pour lancer un nouveau format alternatif. Baptisé MP4, il permet comme le MP3 de télécharger des fichiers de musique compressés mais va plus loin en empêchant le piratage, grâce à des informations limitant la copie et incluses dans le fichier. Le nouveau format fait naître une controverse supplémentaire puisque MP4 était déjà, de manière informelle, le nom utilisé pour le MPEG-4. Lequel devrait être adopté comme standard ISO cette année.
En faisant naître un MP3 plus contrôlable, la société GMO assure ne pas vouloir miner les efforts des plus grandes maisons de disques, qui essaient de développer un nouveau format sécurisé. Les hostilités sont pourtant bien amorcées puisque la poussée de la diffusion autonome de musique sur le Web risque, à terme, de menacer la toute-puissance des gros éditeurs mondiaux.
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