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Sécurité IT : Kaspersky cerne des besoins évolutifs

Montée en puissance du commerce électronique, adoption croissante des services Web, augmentation du volume des données, multiplication des terminaux connectés : la protection et la gestion des systèmes d’information chez les particuliers revêt de nouveaux aspects.

A l’heure d’annoncer la troisième version majeure de sa solution de sécurité Pure, Kaspersky s’inscrit dans cette conjoncture évolutive.

Sous la bannière d’une console d’administration centralisée, l’éditeur d’origine russe réunit plusieurs outils qui couvrent la protection des transactions électroniques, la gestion des identités ou encore la sauvegarde automatique.

Pure 3.0 partage néanmoins de nombreux attributs avec les solutions concurrentes, dont une compatibilité avec Windows 8.

Le cloud reste généreusement mis à contribution. Illustration avec la protection antivirus et la détection de logiciels espions, qui reposent sur une base de réputation hébergée.

Cette méthode de diffusion des signatures de virus accélère la détection des éléments malveillants, minimise les faux positifs et réduit la charge qui pèse sur le système, consommant moins de bande passante, de ressources processeur et de mémoire vive (512 Mo sous Windows XP).

De nombreuses composantes résident tout de même en local (700 Mo d’espace disque sont nécessaires).

C’est le cas de la technologie « Safe Money », destinée à cloisonner les transactions électroniques – achats, banque en ligne – dans un environnement sécurisé.

Instance dédiée du navigateur Internet, contrôle d’authenticité des sites Web, chiffrement des données et clavier virtuel : l’arsenal est complet, avec en outre une prévention du hameçonnage.

Kaspersky propose également un « coffre-fort virtuel » synchronisé entre les ordinateurs équipés de Pure 3.0. Il ne s’agit ni plus ni moins d’un générateur et gestionnaire de mots de passe, sur le modèle de services comme LastPass et 1Password.

Même réflexion pour la sauvegarde de fichiers, confiée à Dropbox via un connecteur.

La console d’administration, qui offre un accès à l’ensemble de ces composantes, semble plus particulièrement pertinente pour contrôler à distance les PC des enfants, via l’outil de contrôle parental. Les autres terminaux (smartphones, tablettes) sont en revanche exclus.

Les tarifs TTC s’échelonnent de 69,95 euros (1 PC protégé durant 1 an) à 174,95 euros (5 PC pour 2 ans). A titre comparatif, la version payante d’Avast s’affiche à 39,99 euros par an (1 PC) ; celle d’Avira, à 26,30 euros.

A noter la gratuité de la mise à jour pour les utilisateurs titulaires d’une licence en cours sur une version antérieure de Pure.

—— A voir aussi ——
Quiz ITespresso.fr : maîtrisez-vous vos données personnelles sur Internet ?

Crédit photo : imagedb.com – Shutterstock.com

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