Dans le cadre de sa lutte anti-terrorisme, la branche Strategic Information & Operations Center (SIOC) du FBI compte renforcer son audit sur les médias sociaux et sollicite à cet effet les acteurs de l’IT, appelés à contribuer à la mise en place d’une plate-forme dédiée à la surveillance des sites et réseaux communautaires.
Dans l’idéal du FBI, il en résulterait « une application open source capable d’agréger en temps réel des informations cruciales qui permettront d’identifier et de géolocaliser instantanément toute menace émergente« .
Si l’avènement escompté de cet outil s’inscrit dans le cadre préventif d’un endiguement du cyber-terrorisme, qu’en est-il de la confidentialité des données des internautes ?
Mais la puissance de tels canaux de communication pourrait permettre de pister plus efficacement certains individus, notamment à l’appui d’une analyse approfondie de leur comportement, voire de leurs sentiments.
En témoigne ce moteur de recherche sémantique multilingue (12 langues et traduction instantanée) inscrit au rang des exigences du FBI et qualifié de condition sine qua non à une coordination opérationnelle.
S’y adjoindront nécessairement, selon les volontés du service fédéral américain, un écosystème de cartographie (l’open data prend ici tout son sens) et des options de partage de l’information avec des partenaires de la médecine légale ou du contre-espionnage.
Crédit image : © Aeolos-Fotolia.com
Quelle part d’incertitude faut-il accepter dans la mise en conformité des IA avec le RGPD…
Microsoft a dévoilé les prix des mises à jour de sécurité étendues pour Windows 10.…
Docaposte a sélectionné une douzaine de spécialistes français pour créer un Pack cybersécurité spécialement étudié…
La Surface Pro 10 sera disponible le 9 avril en France. Passage en revue de…
Que réserve Office 2024 ? Une première version de test officielle sera disponible en avril.…
Microsoft Teams évolue dans une version « unifiée » qui permet de combiner les usages…