Ecran
Perchée sur un châssis mat, la dalle brillante de 10,1 pouces ne saurait passer inaperçue. Elle apporte certes une note de fraîcheur, tout en contraste, mais les nombreux reflets qui la frappent, face à la lumière naturelle comme sous le couvert d’une lampe électrique, augurent d’un désagrément caractéristique des panneaux glossy.
Sans se révéler un cauchemar visuel, le rendu peine à convaincre et force régulièrement à changer de position pour modifier l’angle de vue et minimiser d’autant les reflets parasites.
Dans certaines conditions extrêmes, l’écran pourrait presque faire office de miroir improvisé, pratique pour se refaire une beauté avant une conférence vidéo. Sous le soleil, la situation est plus simple : l’affichage est illisible, peu importe le taux de luminosité.
L’un n’allant pas sans l’autre, la persistance des reflets s’accompagne, comme à l’accoutumée, de la ténacité des empreintes digitales. L’hypothétique chiffon microfibre non fourni par HP sera de sortie plusieurs fois par semaine.
Autre point qui fâche, le très faible taux de contraste, à peine comparable à celui d’un iPad. Ce qui passera inaperçu en navigation Web ou en bureautique pourra se révéler plus contraignant à l’heure de visionner des films.
Difficilement discernables, les contours manquent alors résolument de précision et accusent quelques erreurs chromatiques qui ont certainement à voir avec des noirs mal réglés en configuration d’usine.
Esthétiquement parlant, la bordure noir foncé qui encadre la zone d’affichage peut frapper, en bien comme en mal. On appréciera ou non son aspect sobre, mais son omniprésence au regard peut lasser à la longue : il est vraiment difficile d’en détourner les yeux.
Heureusement, tout n’est pas à jeter : en relativisant des angles de vision désastreux à la verticale, force est de reconnaître que les réunions improvisées autour du HP Mini 210 permettent à un vaste public de se regrouper autour du petit écran. On distingue l’essentiel des formes et des couleurs jusqu’à 170 degrés d’excentration.
La luminosité suit un chemin identique et, sans toucher la perfection, y tend sensiblement. Pas de trace d’un capteur d’ambiance lumineuse, mais que les résultats du benchmark sont flatteurs : 220 cd/m² au seuil maximal. C’est très bon pour un netbook.
(lire la suite du test en page 7)
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