Le sujet du message est « Re[2] Mary », et son texte rédigé en anglais est le suivant : « Hello my dear Mary. Do you remember when we were having wild sex in my house? I remember it all like it was only yesterday. You said that the pictures would not come out good, but you were very wrong, they are great. »
Lorsque le destinataire imprudent ouvre le fichier compressé fourni (Private.zip), il libère un cheval de Troie qui infecte les systèmes Windows et tente de dérober des informations telles que le nom de l’utilisateur ou ses identifiants et mots de passe de messagerie et de connexion Internet. Ces informations peuvent ensuite être exploitées par le pirate, qui se retrouve en outre en mesure de prendre le contrôle de l’ordinateur contaminé à distance.
La bonne nouvelle est que ce cheval de Troie, baptisé « Sysbug », ne se propage pas de lui-même vers d’autres ordinateurs, comme le fait un ver. Les éditeurs d’antivirus, comme Network Associates et Symantec, jugent donc que la menace de Sysbug est très faible.
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